Au Liban, « 200.000 enfants syriens ne vont pas à l’école »

Publié le 28 février 2016

Soha Bsat Boustani est en charge de la communication au bureau de l’Unicef de Beyrouth. Elle répond aux globe-reporters du collège Béranger de Paris.

Droits humains et solidarité

500.000 enfants syriens au Liban. Plus de 200.000 qui ne sont pas scolarisés. La tâche de l’Unicef est immense.

Soha Bsat Boustani dans son bureau de l’UNICEF.

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ?

  • Des nouveaux appels de fonds devaient avoir lieu pour financer la scolarisation de tous les enfants réfugiés syriens. Sur le terrain, qu’en est-il : vont-ils tous à l’école ? Si non, comment occupent-ils leurs journées ?

  • Même si ces enfants ont la possibilité d’aller à l’école, leurs familles les laisseront-ils y aller, si elles ont besoin d’eux pour travailler ?

  • Nous avons lu que la solution trouvée pour scolariser ces enfants avait été de diviser le temps : les enfants libanais iraient à l’école le matin, les enfants syriens l’après-midi. Quels sont les horaires exactement ?

  • Ces enfants vivent-ils dans des camps ? Y est-il possible de faire ses devoirs dans de bonnes conditions ?

  • Où prennent-ils le repas du midi ? Comment faire pour assurer leurs besoins essentiels, pour qu’ils aient de bonnes conditions de travail ?

  • Vous avez parlé d’école informelle, de quoi s’agit-il ?

Téléchargements

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