Patrick BAZ est franco-libanais. Pour l’Agence France-Presse (AFP), ce photo-reporter a travaillé sur de nombreux conflits armés. Il partage son expérience avec Lilian, Mathis, Pierre et Guillem.

Journalisme sans frontières

Patrick BAZ est un bourlingueur. Couvrir des conflits l’a amené à voyager dans de nombreux pays. Nous avons eu la chance de le croiser à Beyrouth. Ce baroudeur qui en a vu de toutes les couleurs avoue que le plus difficile a été de couvrir une guerre dans son propre pays. C’était en 2006. Et c’est justement le sujet de cette interview.

Un entretien réalisé en février 2016 et actualisé en septembre 2021

 

Patrick BAZ © Patrick Baz

Sources sonores

• Pouvez-vous vous présenter et nous expliquer pourquoi vous pouvez répondre à ce questionnaire ?

• Comment viviez-vous pendant cette guerre ? Pouviez-vous sortir, travailler, vous nourrir ?

• Avez-vous eu envie, ou pu fuir ?

• Cette expérience de la guerre vous permet-elle de mieux comprendre ce qui se passe en Syrie actuellement ?

• Connaissiez-vous des partisans du Hezbollah, ou de leur famille, qui ont été touchés ?

• Votre quartier a-t-il été touché ? A-t-il été totalement reconstruit ?

• Quels ont été les lieux les plus touchés ?

• L’armée a-t-elle été très impliquée ?

• Avez-vous considéré que le Hezbollah avait sa part de responsabilité dans la guerre ?

• Quelles ont été les conséquences de la guerre de 2006 pour le pays ?

• Comment, financièrement, le pays a-t-il réussi à se reconstruire ?

• Question bonus : la conséquence de la guerre en Syrie, c’est que beaucoup de réfugiés sont arrivés au Liban. Est-ce ça pose des problèmes ?

• Autre question bonus : est-ce que c’est facile de parler avec les gens du conflit de 2006, de la guerre civile ?

• Auriez-vous un conseil, des pistes à fournir aux globe-reporters pour continuer leur enquête sur le Liban ?