Pourquoi les Libanais doivent payer deux fois l’électricité
Publié le 9 février 2016
Magda Diab est enseignante de sciences économiques et sociales à Beyrouth. Elle répond aux questions des globe-reporters Philippe, Owen, Benjamin et Sorën du lycée Albert Einstein de Sainte-Geneviève-des-Bois, dans la région parisienne, et à celles de Nia et Camelia, du collège Georges Rouault à Paris.
Economie, histoire et politique
Nous rencontrons Magda entre deux cours au Grand lycée français de Beyrouth, où elle enseigne. Plutôt que de faire sa pause déjeuner, elle régale les globe-reporters de ses connaissances sur l’économie du Liban.
Magda Diab devant l’olivier centenaire du Grand lycée français.
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter ?
Quel est le PIB par habitant au Liban ?
Les inégalités économiques sont-elles importantes ? Pourquoi ?
A cause de quoi y a-t-il des dettes publiques ? Quel impact la crise financière a-t-elle eu sur le Liban ?
Le Liban était un temps surnommé « la Suisse du Moyen-Orient », qu’en est-il aujourd’hui ?
Pourquoi peut-on utiliser à la fois des dollars et des livres libanaises ?
Quel effet la guerre a-t-elle eu sur l’économie ?
A quoi a servi l’argent donné pour les réfugiés syriens ?
Quel est le type de politique économique pratiquée par le gouvernement ?
Quels sont les points forts et les points faibles de l’économie libanaise ? Quels pourraient être ses points forts ?
Les élites restent-elles au Liban ?
Beaucoup de choses au Liban ne sont pas gratuites, comme l’éducation...
Peut-on bien vivre au Liban avec le salaire moyen ? Quel est le coût de la vie ?
Question bonus : pouvez-vous nous parler de l’économie des services de proximité, très développée au Liban ?
Un dernier mot à rajouter, pour bien comprendre l’économie libanaise ?