A Beyrouth, un centre pour apprendre à gérer les conflits du quotidien

Publié le 9 février 2016

Johanna Hawari Bourjeily est la directrice du centre professionnel de médiation de l’université Saint-Joseph à Beyrouth. Elle répond aux questions de Marie, Gina, Margot et Auriane du lycée Simone Signoret de Vaux-le-Pénil, en Ile-de-France.

Vie quotidienne

18 confessions religieuses, une interminable guerre civile, des voisins hostiles… le Liban est un pays où le mot « médiation » porte encore plus de sens qu’ailleurs dans le monde. Johanna partage son expérience avec les globe-reporters.

Sources photographiques

Johanna Hawari Bourjeily, la directrice du centre professionnel de médiation de l’université Saint-Joseph, à Beyrouth.
Johanna Hawari Bourjeily, la directrice du centre professionnel de médiation de l’université Saint-Joseph, à Beyrouth.
Au secrétariat du CPM, le tableau des élèves et étudiants médiateurs.
Au secrétariat du CPM, le tableau des élèves et étudiants médiateurs.
Le cèdre du Liban en silicone, réalisé par les élèves médiateurs, avec l’aide d’un artiste, lors de la journée de la paix.
Le cèdre du Liban en silicone, réalisé par les élèves médiateurs, avec l’aide d’un artiste, lors de la journée de la paix.
Le « ruban de la paix », réalisé dans le même contexte. Chaque élève médiateur y appose son nom. L’objectif est de signifier aux jeunes qu’ils sont chacun une pierre pour construire l’édifice de paix au Liban.
Le « ruban de la paix », réalisé dans le même contexte. Chaque élève médiateur y appose son nom. L’objectif est de signifier aux jeunes qu’ils sont chacun une pierre pour construire l’édifice de paix au Liban.
Johanna Hawari Bourjeily, la directrice du centre professionnel de médiation de l’université Saint-Joseph, à Beyrouth.
Au secrétariat du CPM, le tableau des élèves et étudiants médiateurs.
Le cèdre du Liban en silicone, réalisé par les élèves médiateurs, avec l’aide d’un artiste, lors de la journée de la paix.
Le « ruban de la paix », réalisé dans le même contexte. Chaque élève médiateur y appose son nom. L’objectif est de signifier aux jeunes qu’ils sont chacun une pierre pour construire l’édifice de paix au Liban.

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ?

  • Les communautés vivent-elles séparément à Beyrouth ? Comment se répartissent les différentes communautés dans la ville ?

  • Que reste-t-il de la ligne verte ? A-t-elle disparu ?

  • L’école favorise-t-elle le vivre-ensemble ?

  • Les jeunes de différentes communautés grandissent-ils ensemble ? Sont-ils mélangés dans les écoles ?

  • Est-ce qu’il y a des manifestations culturelles ou sportives qui favorisent ce vivre-ensemble ?

  • Quel est le rôle des élèves médiateurs que vous formez ?

  • Avez-vous un exemple de conflit réglé par les élèves médiateurs, dans une école ?

  • Vous formez aussi des étudiants, plus âgés. Quel est leur rôle ?

  • Existe-t-il aussi des actions pour les adultes ?

  • Est-ce que ça peut être un métier, médiateur ?

  • Quels sont les outils que vous utilisez, dans la médiation ?

  • Avez-vous vu les choses changer, dans les écoles où vous intervenez ?

  • Vivre ensemble à Beyrouth, est-ce un rêve ou une réalité ?

  • Travaillez-vous sur la gestion des relations entre Libanais et réfugiés syriens ?

  • Pouvez-vous nous parler de la sculpture et du ruban de la paix ?

  • Un dernier mot à propos de la médiation ?

Téléchargements

Les partenaires de la campagne

  • Région PACA
  • Institut français du Liban
  • Fondation SNCF