Madeleine Badaro Taha est pédopsychiatre. Elle connaît bien le système de santé libanais, pour y travailler depuis de longues années. Elle répond aux questions d’Ines, Lu Ann et Dilan, élèves de seconde au lycée Albert Einstein, à Sainte-Geneviève-des-Bois.
Vie quotidienne
Sources photographiques
Madeleine Badaro Taha
L’enseigne du cabinet de Madeleine
L’enseigne du cabinet de Madeleine
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter et nous expliquer pourquoi vous pouvez répondre à ce questionnaire ?
La condition sociale a-t-elle de l’influence sur la prise en charge médicale ? Les religions ont-elles de l’influence sur la prise en charge médicale ?
Y a-t-il un système d’assurance maladie similaire à celui de la France ?
Quel est le prix d’une consultation ?
Quelles sont les différences entre les systèmes de santé français et libanais ?
Y a-t-il une différence entre la ville et les montagnes ?
La guerre a-t-elle eu un impact sur la prise en charge et sur les infrastructures destinées aux soins ? Le système était-il plus performant avant ?
Dans le privé, y a-t-il des secteurs de pointe ? Attirent-ils des patients de pays étrangers ?
Quelle est la politique du ministère de la Santé ? A-t-il les moyens et la volonté de faire avancer les choses ?
Les étrangers qui vivent au Liban, comme les Palestiniens ou maintenant les réfugiés syriens, ont-ils accès au système de santé libanais ?
Si vous deviez proposer un titre pour cet article, quel serait-il ?