Pourquoi faut-il préserver l’Arctique et éviter la fonte des glaces ?
Publié le 12 novembre 2016
Dimitri Kalenitchenko est docteur en océanographie. Il a étudié à l’université Laval au Québec et est membre de la Plateforme Océan et Climat. Il participe aux conférences de la Journée spéciale Océan à la Cop 22 de Marrakech après deux mois passés en Arctique dans le cadre d’une campagne scientifique. Il répond aux questions de Elysabeth, Naomi, Jade et Carla du collège Français de Montréal.
La biodiversité dans tous ses états
Dimitri Kalenitchenko à la COP 22
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter ?
Après la fonte des glaces, dans quel état sera l’écosystème de l’Arctique ?
Quelle conséquence la fonte des glaces aura sur le climat mondial ?
Quelles sont les actions des gouvernements ou de la communauté internationale vis-à-vis de tout cela ?
Que va-t-il arriver aux Inuits ?
Est-ce que la fonte des glaces a un impact sur l’exploitation minière ?
Si la banquise fond, est-ce qu’il y aura plus d’eau douce ?
Si le réchauffement s’arrête, est-ce que l’Arctique reviendra comme avant ?
À cause de la fonte des glaces en Arctique, celui-ci est plus accessible. Est-ce qu’il y aura une 3e Guerre mondiale (entre les 5 pays) par rapport au partage de ce territoire ?
Question bonus : est-ce que le réchauffement climatique est le seul responsable de la fonte des glaces ?
Question bonus : est-ce que la situation est catastrophique ou la tendance peut encore s’inverser ?
Question bonus : pouvez-vous nous parler de votre dernière mission en Arctique ?