Les défis du nouveau gouvernement tunisien

Publié le 26 février 2015

Ridha Tlili est un historien qui n’a pas la langue dans la poche. Il répond aux questions des globe-reporters du lycée Philippe Lamour de Nîmes et dit ce qu’il pense du gouvernement issu des élections législatives de février 2015.

Economie, histoire et politique

Ridha Tlili est également le président de la Fondation pour la culture démocratique et la justice sociale, fondée en 2011.

Ridha Tlili devant le portait de son père, le syndicaliste Ahmed Tlili (1916-1967)

La page Facebook de la fondation.

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Sources sonores

  • Croyez-vous à l’idée d’Union nationale ? Le fait que plusieurs partis travaillent ensemble aidera-t-il à la culture démocratique ?

  • C’est un gouvernement disparate avec des membres de Nidaa Tounes qui compte des cadres de l’ancien régime, des islamistes Ennahda, opposés politiquement et des membres de partis moins marqués idéologiquement comme l’Union patriotique libre, pensez-vous qu’ils arriveront à trouver une harmonie et avancer ensemble ?

  • Des membres de Nidaa Tounes ont un certains nombre de postes clefs aujourd’hui alors que ce parti compte des membres de l’ancien régime, est-ce que ça inquiète une partie de la population. Y a-t-il un risque de retour aux pratiques de l’ancien régime de Ben Ali ?

  • Merci de vous présenter

  • Quelles sont les différences entre ce nouveau gouvernement et le précédent gouvernement de Mehdi Jomaa ?

  • Quels sont les principaux défis pour ce gouvernement dans les 5 ans à venir ? Quelles sont les priorités ?

  • Un nouveau gouvernement vient d’être mis en place, dirigé par Habib Essid, êtes-vous satisfait par son programme ?

  • Y a-t-il un risque que cette alliance entre partis aux programmes différents et qui ont parfois fait campagne les uns contre les autres ait déçu les électeurs et approfondi la désillusion des tunisiens vis à vis de la politique ?

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