Qui peut participer ?

Publié le 12 novembre 2015

Dans la mesure où le projet s’adapte aux souhaits et besoins des enseignants, notre proposition s’adresse à un large éventail d’élèves. Elle s’adapte aux classes de l’enseignement élémentaire et secondaire.

Qui sommes nous ?

Globe Reporters est un facteur d’innovation pédagogique : en donnant un rôle d’acteurs aux jeunes, en utilisant des méthodes actives et non « moralisatrices », les jeunes sont des contributeurs. Ils utilisent les outils participatifs dont ils sont familiers dans un cadre éducatif. Globe Reporters suscite l’enthousiasme, quel que soit l’âge des jeunes.

Avec Globe Reporters, chacun travaille selon les compétences ; les journalistes enquêtent et les pédagogues enseignent. L’EMI ne doit pas demander aux enseignants de devenir journalistes ni aux reporters de s’improviser pédagogues. Chacun doit rester dans son métier et ses compétences. Le métier des journalistes est de faire des enquêtes.

Globe Reporters diversifie les approches pédagogiques, favorise la démarche de projet, suscite le désir d’apprendre et contribue à la réussite et l’épanouissement de chaque jeune.

Les correspondances développent des compétences en lecture et écriture. Le projet conduit les élèves à s’approprier un environnement informatique de travail. Ils créent, produisent, traitent, exploitent des données. Ils s’informent, se documentent, échangent et communiquent.

Le recours aux TICE et à Internet dans un cadre pédagogique est une aide à la réussite scolaire. L’exploitation des données journalistiques et leur réinvestissement favorisent l’acquisition d’un ensemble de compétences et de connaissances permettant à chaque élève d’utiliser les TICE de façon réfléchie et efficace.

La correspondance entre élèves et journalistes offre un contexte d’apprentissage participatif permettant de développer des aptitudes dans différents domaines. L’exploitation des données journalistiques favorise l’acquisition d’une bonne maîtrise de la lecture et de l’écrit.

Pour mobiliser les élèves en difficulté et lutter contre le décrochage scolaire, les classes de CLIS et de SEGPA sont prioritaires. Lycéens roumains qui ont répondu aux globe-reporters français en 2015.

Des enfants scolarisés dans d’autres conditions (hôpitaux, etc.) peuvent devenir des globe-reporters. Des groupes hors structures scolaires peuvent aussi participer (centres de loisirs ou tout autre structure accueillant un public jeune).

Lycéens roumains qui ont répondu aux globe-reporters en 2014

Nous avons commencé en travaillant sur Paris et la région parisienne. Désormais, des classes de la toute la France métropolitaine et d’outre-mer participent aux campagnes.

En 2015 année, nous ouvrons le projet à des classes de la Francophonie du Canada, de Roumanie, du Liban et de Turquie. Au cours de la campagne, les familles peuvent suivre l’avancée des enquêtes puisque les documents postés sur le site Internet sont en accès libre.

Les réalisations des globe-reporters sont diffusées dans les établissements scolaires à destination des autres élèves et des parents. Elles sont également valorisées sur les réseaux sociaux et par nos médias partenaires.

Le nombre de bénéficiaires indirects (autres classes des établissements scolaires, parents d’élèves, visiteurs du site Internet, enseignants francophones, etc.) est bien supérieur à celui des bénéficiaires directs. En janvier 2015, au cours de la campagne Roumanie, notre site Internet a reçu plus de 10 000 visites.