Nolan, Enzo et Clément sont de Hénin-Beaumont (62). Ils s’intéressent aux effets de la déforestation sur notre écosystème. Pour répondre à leurs questions, leur envoyée spéciale identifie une association basée à Lille, les planteurs-volontaires. C’est un des salariés de l’association, Raphaël MAIRESSE, qui se prête au jeu de l’interview.
Innovations pour demain et après-demain
Nolan, Enzo et Clément enquêtent sur les effets de la déforestation. Lors de leur travail de recherche, ils repèrent le contact d’une chargée de mission agriculture et forêt de l’association Greenpeace. C’est un bon choix d’interlocutrice, mais elle n’est pas basée dans le nord de la France.
Sidonie HADOUX, notre envoyée spéciale, basée en Hauts-de-France, et soucieuse de respecter l’angle local des reportages, fait quelques recherches supplémentaires pour trouver un.e interlocuteur.trice pertinent.e. C’est à Arnaud MAHUT et Romaric CAYET, les deux parrains de la rédaction du collège RABELAIS et étudiants à l’Académie ESJ Lille, que Sidonie confie la tâche de chercher des interlocuteurs.
Romaric propose le contact de l’association Planteurs Volontaires, une association dont le siège social est basé à Lille. Son but ? Planter des arbres et sensibiliser sur les enjeux du reboisement. Sur leur site internet, on peut y lire sur la page d’accueil.
« Nous militons en faveur de l’arbre, par la réalisation de projets de plantation, de chantiers participatifs, d’animations et de formations autour de la thématique de l’arbre. »
Sur leur site internet, la journaliste continue de glaner des informations. Dans la rubrique « Pourquoi planter des arbres », elle y trouve des informations chiffrées, des cartes et des schémas. Les informations sont sourcées. Cela semble suffisamment sérieux pour les contacter. Ils pourront certainement répondre aux questions des globe-reporters, tout en permettant à la journaliste de traiter le sujet selon l’approche du journalisme de solutions. L’association est en effet un acteur qui souligne un problème tout en cherchant à en diminuer l’impact.
Sur leur site internet, il y a un contact courriel et le numéro de téléphone de trois membres. Sidonie privilégie le contact direct afin de gagner du temps. Elle appelle ainsi Alain GUILLOU, responsable et co-fondateur de l’association. Elle lui explique le projet et formule sa demande d’interview. Alain GUILLOU accepte et lui propose de venir les voir sur un chantier. Le rendez-vous est pris : jeudi 10 décembre à Loos, sur leur chantier à l’IME-La Pépinière.
Le jour J, Sidonie arrive à 13h00 sur le site. L’équipe des planteurs est en train de déjeuner à l’intérieur de l’IME. Alain GUILLOU vient à la rencontre de la journaliste et l’invite à s’assoir à leur table le temps qu’ils.elles finissent. C’est l’occasion d’échanger deux mots sur le projet et sur leur association. Une fois repue, l’équipe regagne le chantier. Et c’est Raphaël MAIRESSE, un des salariés de l’association qui se prête au jeu de l’interview pendant que les autres reprennent les travaux.
Pour compléter l’interview de Raphaël, Sidonie repère plusieurs sites d’information pertinents sur la question de la déforestation. Recoupez les sources et les informations. Les liens sont en haut à droite, dans la rubrique « Pour aller plus loin ».