La mission de l’envoyée spéciale des globe-reporters démarre par une première promenade dans les rues de Ouagadougou pour découvrir la capitale de Burkina Faso. Puisque les motos sont le transport préféré des Ouagalais, c’est en moto qu’elle défie la chaleur et la poussière.
Carnet de route
Le premier choc en sortant de l’avion est thermique. En 5h00 de vol, je suis passée de -5 degrés à 26 degrés en pleine nuit ! Le matin, le thermomètre peut monter à 32 degrés. La chaleur est accompagnée d’un vent constant, mais pas très fort qu’on appelle l’Harmattan. C’est le vent du désert qui est chaud et très sec.
Ouagadougou est une ville de plus d’un million et demi d’habitants. Elle semble très calme, silencieuse et avec un trafic qui roule plutôt doucement. La ville se réveille très tôt, à cinq heures du matin et se couche tard aussi. Les Ouagalais aiment bien s’asseoir dans les terrasses des petits bars la nuit et papoter avec les amis.