Au Liban, Handicap international panse l’après-conflits
Publié le 18 février 2016
Chris Chenavier travaille pour l’ONG Handicap International au Liban. Il répond aux questions des globe-reporters Elyes, Roselaine, Clémentine et Wissam, collégiens à Saint-Chamond.
Droits humains et solidarité
« 1h45 pour faire 30 km à cause des embouteillages », peste Chris en sortant de la voiture qui l’a conduit de Byblos, où il habite, au siège d’Handicap International, à Beyrouth. Mais la bonne humeur revient vite et Chris prend le temps de répondre aux questions et de partager sa ferveur pour la solidarité avec les globe-reporters.
Lui et notre envoyé spécial s’installent sous le soleil de février qui inonde le balcon.
Chris Chenavier
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter et nous expliquer pourquoi vous pouvez répondre à ce questionnaire ?
Quelles étaient vos motivations pour travailler à Handicap international ?
Au Liban, Handicap international s’occupe-t-il seulement de déminage ?
Combien de personnes travaillent pour Handicap international au Liban ?
Comment ont évolué vos missions au Liban ? Votre activité a-t-elle changé avec la crise syrienne ?
Qui sont les Syriens que vous prenez en charge ?
Pourquoi les camps de réfugiés se situent-ils vers Tripoli et Tyr ?
Rencontrez-vous des problèmes de sécurité au Liban ? Craignez-vous les attentats ?
Avez-vous assisté à des scènes choquantes, lors de votre carrière à Handicap international ?
Un dernier mot, peut-être pour donner envie aux globe-reporters de s’investir dans la solidarité ? Est-ce une voie intéressante à suivre ?