Romy Dargham répond aux questions des globe-reporters Chamalina, Nisma, Aymerick, Théo et Yanis, collégiens à Saint-Chamond, près de Saint-Etienne.
Education et jeunesse
Romy Dargham connaît bien le monde éducatif libanais. Ses parents ont créé une école dans laquelle elle a travaillé. Aujourd’hui, elle dirige une école pour les enfants syriens réfugiés gérée par l’ONG Offre joie.
Nous rencontrons Romy dans le village de Kfifane, à quelques kilomètres de la ville de Batroun, dans le nord du Liban.
Sources photographiques
Romy Dargham devant son bureau.
Romy Dargham devant son bureau.
Romy, un voisin et Louise, une Française qui fait du bénévolat dans l’école.
L’école s’appelle Notre Dame de la Victoire.
Entrée de l’école.
Peinture murale sur le mur face à l’école, dans le village de Kfifane.
Peinture murale sur le mur face à l’école, dans le village de Kfifane.
Romy Dargham avec le professeur de sports.
Romy Dargham avec le professeur de mathématiques.
Sources sonores
Pourquoi pouvez-vous répondre à ce questionnaire ?
Est-ce-que tous les enfants libanais sont scolarisés ?
Les garçons et les filles sont-ils séparés ?
Les élèves portent-ils des uniformes ?
Y a-t-il des écoles publiques et privées ? Des écoles religieuses ? Quelles sont les différences ?
La religion est-elle étudiée à l’école ?
Ont-ils des matières différentes des nôtres ? Apprend-on la même chose au Liban qu’en France ?
Quelles langues apprennent-ils ?
Quels sports pratiquent-ils ?
Y-a-t-il des classes ULIS (Unités localisées pour l’inclusion scolaire, qui accueillent des élèves présentant des troubles cognitifs, du langage...) dans les écoles libanaises ?