Venir à Bruxelles et ne pas visiter à l’Atomium, c’est comme découvrir Paris et ne pas monter à la Tour Eiffel. Les globe-reporters de l’école de la Porte d’Ivry et du collège Camille Claudel, à Paris, ont missionné leurs envoyés spéciaux pour s’y rendre.
Les envoyés spéciaux ont eu beau expliquer que c’était hors sujet pour cette campagne consacrée à l’Europe, on ne peut rien refuser aux rédacteurs en chef.
Du bureau de Globe Reporters, on aperçoit au loin l’Atomium, but de notre visite. Pour cela, il faut se rendre au nord de Bruxelles
Pour s’y rendre, l’option tramway 51 est retenue. Il faut aller jusqu’au terminus, à la station Stade
En voiture !
Après 30’, le terminus approche. Il n’y a plus grand monde dans le tramway
Il faut maintenant marcher quelques minutes. L’Atomium est bien entouré
On passe devant le siège du comité belge paralympique
Puis devant le Planétarium
Difficile de résister à l’envie d’aller faire un tour de toboggan aquatique, mais ce n’est pas notre objectif
Voilà enfin l’Atomium de près
Au pied du monument
La pluie s’y met. Vite, rentrons à l’intérieur
Photo obligatoire avec Marsupilami
Quelques explications sont les bienvenues
Voilà ce qui nous attend
Pour monter dans la sphère la plus haute, il faut faire la queue pour prendre l’ascenseur
La flemme d’attendre. Un autre chemin est possible…
En prenant les escaliers
Surprise ! Le premier escalier grimpé, on débarque dans une salle d’exposition
C’est l’étage réservé à l’histoire de l’Atomium
Retour vers le futur. Nous voici à la fin des années 1950
En Belgique, tout le monde ne parle que de la construction de l’Atomium
Un peu partout, des explications accompagnent les visiteurs
Projets de piliers pour l’Atomium
Photos, écrans, objets racontent l’aventure technologique
Une aventure qui faisait la Une des journaux de l’époque
Une inauguration en grande pompe
Une exposition universelle est toujours un grand moment. La France espère en organiser une en 2025
Changement de sphère. On grimpe
Nous voici dans un espace pour des expositions temporaires
Si vous avez fait attention avant de rentrer dans l’Atomium, il s’agit d’une exposition sur le travail de Magritte, une icône du surréalisme belge
Une fois à l’intérieur, on est surpris par le volume de ces sphères
Des plans sont là pour savoir dans quelle sphère on se trouve, car il est difficile de se repérer
Une exposition surréaliste dans un endroit très surprenant
Détail de l’architecture d’acier et d’aluminium, d’où le nom d’Atomium
L’exposition épouse la structure de l’Atomium
Nous sommes arrivés au plus haut par la voie des escaliers. C’est le moment de redescendre.
Des lucarnes permettent de regarder vers l’extérieur
Sans s’en rendre compte, on a pris de la hauteur
Un escalator, lui aussi surréaliste, ramène les visiteurs vers l’air libre
Passage à la boutique souvenirs obligatoire
L’Atomium est décliné de mille façons comme la Tour Eiffel