De retour à Ouagadougou !

Publié le 27 janvier 2023

Après un premier séjour en 2017, la journaliste Tatiana MIRALLES, l’envoyée spéciale des globe-reporters, arrive pour un second séjour à Ouagadougou. Elle redécouvre les rues de la capitale en se mêlant à la circulation des motos, casque bien posé sur la tête et appareil de photo à la main.

Carnet de route

L’arrivée à l’aéroport de Ouagadougou est accueillante, sympathique et toujours facile. A la douane, les formalités sont simples. Les voyageurs montrent leurs papiers aux autorités et peu-vent rapidement aller chercher leurs valises. Les valises récupérées, les voyageurs sont attendus à la sortie. Bon nombre de Ouagalais et Ouagalaises sont là pour accueillir leurs proches.

La première impression qui saisit Tatiana est la chaleur. À Paris, au décollage, le thermomètre affichait 2°. Dans la capitale du Burkina, il fait 25° à 20h00. En journée, même en janvier, la température peut monter jusqu’à 40° dégrées. Un vent chaud et sec souffle pendant cette période de l’année : l’harmattan. Il vient du Sahara. Il est typique de cette période de l’année. Pendant la saison sèche, il fait monter les températures le jour. Il dépose aussi de la poussière venue du désert.

À Ouagadougou la terre et la ville sont rouges : les voitures, les motos, les maisons, les plantes, les chaussures, etc. tout est couvert par une fine couche de cette poussière qui nous accompagne pendant un bon moment de notre première ballade.

Depuis l’aéroport, Tatiana prend la direction du centre-ville. Sur de larges avenues, la circulation routière est plutôt tranquille. On dirait du brouillard. Mais non, c’est la poussière soufflée par l’harmattan.

Les voitures cohabitent avec des milliers de motos et de vélos. La moto est la reine des moyens de transport dans la capitale burkinabée. Elles se faufilent entre les voitures calmement. C’est comme une danse qui, de temps à autre, est bousculée par des voitures ou motos plus pressées que tout le monde. 

L’envoyée spéciale des globe-reporters se rend dans le quartier de Dasasgho, près de l’Université de Ouagadougou, tout près du Musée National d’Histoire. C’est là que se trouve la maison où elle va loger durant ce séjour. Tatiana MIRALLES a deux colocataires : Gaby, hôte de la maison et Blaky, un jeune et dynamique chien de race azawakh. C’est lui qui assure la garde la maison. Il aime gratter les moustiquaires des portes du jardin et mordiller des sandales ou des chaussures.

Dasasgho est un quartier très étendu. La maison de Tatiana n’est pas très éloignée de Bangre Weogo, ce qui signifie « Foret du Savoir » en langue mooré. Il s’agit d’un parc national urbain de 250 hectares. C’est un vrai poumon vert pour les 3 millions d’habitants de Ouagadougou, les Ouagalais. C’est aussi symbole de la lutte contre la désertification et la pollution. Et pour finir, c’est une réserve d’oiseaux, des crocodiles et des autres espèces en voie d’extinction.

Ouagadougou est donc une ville plate, facile à parcourir, avec un horizon poussiéreux et rouge. Nous allons la découvrir pendant les prochaines semaines !

Carnet de route rédigé le 25 janvier 2023

Sources photographiques

À Ouagadougou, le vent l’harmattan dépose sa poussière et habille la ville en rouge. A chaque coin des grandes avenues, des commerces sont établis à l’ombres des grands arbres © Globe Reporters
À Ouagadougou, le vent l’harmattan dépose sa poussière et habille la ville en rouge. A chaque coin des grandes avenues, des commerces sont établis à l’ombres des grands arbres © Globe Reporters
La moto est le véhicule principal des ouagalais, très confortable pour une ville plate et avec des grandes avenues qui facilitent la cohabitation avec les voitures © Globe Reporters
La moto est le véhicule principal des ouagalais, très confortable pour une ville plate et avec des grandes avenues qui facilitent la cohabitation avec les voitures © Globe Reporters
Un commerce de vélos dans la grande avenue Charles de Gaulle, l’autre moyen de transport des Ouagalais © Globe Reporters
Un commerce de vélos dans la grande avenue Charles de Gaulle, l’autre moyen de transport des Ouagalais © Globe Reporters
La rue qui mène vers le musée national d’Histoire, dans le quartier Dasasgho, où habite l’envoyée spéciale des globe-reporters © Globe Reporters
La rue qui mène vers le musée national d’Histoire, dans le quartier Dasasgho, où habite l’envoyée spéciale des globe-reporters © Globe Reporters
Entrée au Parc Bangr Weogo, un des endroits de loisirs préférés des Ouagalais le weekend © Globe Reporters
Entrée au Parc Bangr Weogo, un des endroits de loisirs préférés des Ouagalais le weekend © Globe Reporters
Entrée à l’Université Joseph Ki-Zerbo. C’est la plus grande des Universités du Burkina Faso et la plus ancienne. Elle a été construite en 1961 © Globe Reporters
Entrée à l’Université Joseph Ki-Zerbo. C’est la plus grande des Universités du Burkina Faso et la plus ancienne. Elle a été construite en 1961 © Globe Reporters
Le Mémorial de Thomas SANKARA est un des lieux symboliques de Ouagadougou, connu aussi pour la statue géante du leader burkinabé qui mesure 5 mètres de haut © Globe Reporters
Le Mémorial de Thomas SANKARA est un des lieux symboliques de Ouagadougou, connu aussi pour la statue géante du leader burkinabé qui mesure 5 mètres de haut © Globe Reporters
Blacky est le gardien de la maison où l’envoyée spéciale des globe-reporters sera logée. Il est de race azawakh, jeune, dynamique et mangeur des chaussures. Il ne faut pas oublier prendre les sandales devant la porte de la maison ! © Globe Reporters
Blacky est le gardien de la maison où l’envoyée spéciale des globe-reporters sera logée. Il est de race azawakh, jeune, dynamique et mangeur des chaussures. Il ne faut pas oublier prendre les sandales devant la porte de la maison ! © Globe Reporters
À Ouagadougou, le vent l’harmattan dépose sa poussière et habille la ville en rouge. A chaque coin des grandes avenues, des commerces sont établis à l’ombres des grands arbres © Globe Reporters
La moto est le véhicule principal des ouagalais, très confortable pour une ville plate et avec des grandes avenues qui facilitent la cohabitation avec les voitures © Globe Reporters
Un commerce de vélos dans la grande avenue Charles de Gaulle, l’autre moyen de transport des Ouagalais © Globe Reporters
La rue qui mène vers le musée national d’Histoire, dans le quartier Dasasgho, où habite l’envoyée spéciale des globe-reporters © Globe Reporters
Entrée au Parc Bangr Weogo, un des endroits de loisirs préférés des Ouagalais le weekend © Globe Reporters
Entrée à l’Université Joseph Ki-Zerbo. C’est la plus grande des Universités du Burkina Faso et la plus ancienne. Elle a été construite en 1961 © Globe Reporters
Le Mémorial de Thomas SANKARA est un des lieux symboliques de Ouagadougou, connu aussi pour la statue géante du leader burkinabé qui mesure 5 mètres de haut © Globe Reporters
Blacky est le gardien de la maison où l’envoyée spéciale des globe-reporters sera logée. Il est de race azawakh, jeune, dynamique et mangeur des chaussures. Il ne faut pas oublier prendre les sandales devant la porte de la maison ! © Globe Reporters

Sources vidéo

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