« Environ la moitié de la population parle le français », Bernard Roesch
Publié le 17 janvier 2016
Bernard Roesch est un jeune retraité. Il a longtemps travaillé pour l’AEFE, l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger. Il répond aux questions de Morgane, Sabine, Houda et Habiba du lycée Jacques Monod de Paris, à propos de la langue française au Liban.
Culture et francophonie
M. Bernard Roesch a été conseiller culturel adjoint en poste à l’Ambassade de France au Liban, où il se trouvait en charge du réseau libanais des établissements scolaires homologués et conventionnés relevant de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger. Aujourd’hui, il vit toujours au Liban.
Bernard Roesch
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter et nous dire pourquoi vous pouvez répondre à nos questions ?
Quel est le pourcentage de la population au Liban qui parle français ?
Où apprennent-ils le français ? Peut-on faire des études en français au Liban ? L’apprend-on dans toutes les écoles, publiques et privées ?
Quelle est la différence entre un établissement homologué et un autre établissement ?
Cela fait-il du Liban un pays particulier, pour la francophonie ?
Combien d’élèves prennent le français comme première langue étrangère ?
Existe-t-il des journaux, des magazines en français ? Quel est leur nom ? Sont-ils spécialisés dans un domaine ? Y a-t-il une chaîne télé en français ?
Question bonus : Est-ce facile de défendre le français dans un pays comme le Liban ?