Il faut confier aux jeunes générations le devenir de nos forêts
Publié le 25 janvier 2019
Mori HABA est agronome et travaille à Sérédou, en Guinée forestière. Il répond aux questions des globe-reporters Garance, Romane, Émile et Benjamin du collège de l’Étang à Saint-Paul, dans l’île de la Réunion, qui s’intéressent à l’agriculture et à ses conséquences sur l’environnement naturel.
Développement durable et environnement
Lorsque notre envoyé spécial et son confrère Carol VALADE, le correspondant de RFI en Guinée, décident de partir ensemble en Guinée forestière, ils prennent des contacts à l’avance dans les différents endroits où ils ont décidé de se rendre. Ces échanges sont utiles pour programmer des interviews, mais aussi pour s’enquérir de questions pratiques comme les possibilités de logement sur place.
À Sérédou, village situé à l’orée de la forêt classée de Ziama, c’est un dénommé Mori HABA qui leur trouve où dormir. Il fournit aussi tous les contacts nécessaires à la bonne conduite de leurs reportages, sur les éléphants notamment. Mori est d’une disponibilité sans faille pour leur faciliter le travail.
Et lorsque Raphaël KRAFFT apprend qu’il est agronome, il se souvient que des globe-reporters s’intéressent à l’agriculture en Guinée. Vite, il sort son classeur où il consigne toutes les interviews pour retrouver celle des globe-reporters du collège de l’Étang à Saint-Paul à l’île de la Réunion.
Mori HABA lors de l’interview
Sources sonores
Pouvez-vous présenter ?
De quelle manière les espaces agricoles sont-ils cultivés dans cette région ?
Est-ce que les cultivateurs utilisent des pesticides ?
Est-ce que les agriculteurs utilisent des machines ?
Quelles sont les raisons qui provoquent du déboisement ?
Dans la région de Ziama, les espèces endémiques sont-elles en danger ?
Y a-t-il des réserves pour les espèces animales menacées ?
Question bonus : L’équilibre entre la préservation du milieu naturel et le développement des activités humaines est fragile. Comment le maintenir ?
Question bonus : Avez-vous un message pour les globe-reporters ?