Maya Ammar, chargée de communication de l’ONG Kafa, répond aux questions des élèves du Réseau d’éducation prioritaire Camille Claudel, à Paris, qui s’interrogent sur cette association et sur le phénomène du mariage précoce.
Droits humains et solidarité
Maya Ammar travaille depuis longtemps pour l’association Kafa, qui a été créée en 2005. « Kafa » veut dire « assez », en arabe : l’ONG a pour but de lutter contre les violences faite aux femmes. C’est la première du genre, au Liban, et c’est l’une des plus importantes.
Sources photographiques
Maya Ammar au siège de l’association libanaise Kafa. Elle en est la chargée de communication.
Le siège de l’ONG Kafa.
Dans l’entrée, des prospectus.
Affiche d’une campagne de Kafa contre les violences faites aux femmes.
Une autre affiche d’une campagne de Kafa contre les violences faites aux femmes.
Sources sonores
Depuis quand l’association Kafa existe-t-elle ?
Qui a créé cette association ?
Ca veut dire quoi, « Kafa » ?
Combien êtes-vous dans votre association ? Est-ce du travail bénévole ?
Quelle est cette nouvelle loi récente sur les violences familiales que vous avez évoquée ?
Avez-vous un soutien du gouvernement libanais ?
Y a-t-il des Libanais choqués par l’existence de votre association ? Comment le manifestent-ils ?
Pourquoi marie-t-on les enfants si jeunes au Liban ?
Que disent-elles quand elles viennent vous voir ? Quelles aides leur proposez-vous ?
Combien de jeunes filles mineures sont mariées chaque année ?
Kafa est-elle la principale ONG de défense des droits des femmes, au Liban ?