L’art au service de la planète

Publié le 3 décembre 2015

Fondre avec Olafur Eliasson...Cet artiste danois a rapporté 12 blocs de glace détachés de la banquise. En les laissant fondre sur la place du Panthéon à Paris, le temps de la COP21, il espère sensibiliser à l’urgence d’agir.

Débats

Martin, l’assistant d’Olafur Eliasson, explique l’exposition.

Olafur Eliasson est le créateur de « Ice Watch » : la présentation de 12 blocs de glace détachés de la banquise. Disposés en rond, comme une horloge, ils vont fondre doucement pendant la COP21. Cette pendule qui fond symbolise l’urgence d’agir face au réchauffement climatique.
 
Bruno Julliard est premier adjoint à la mairie de Paris, en charge de la Culture.

Tous les trois répondent aux questions d’Antonela, Alexa, Christia du collège "Mircea cel Batran" à Constanta, en Roumanie.
 

Sources photographiques

Bruno Julliard est 1er adjoint à la maire de Paris Anne Hidalgo. Il est en charge de la Culture. Crédit Valérie Rohart
Bruno Julliard est 1er adjoint à la maire de Paris Anne Hidalgo. Il est en charge de la Culture. Crédit Valérie Rohart
Des clowns font irruption au milieu de « Ice Watch ». Crédit Valérie Rohart
Des clowns font irruption au milieu de « Ice Watch ». Crédit Valérie Rohart
Deux parisiennes cachées par les blocs de glace. Crédit Valérie Rohart
Deux parisiennes cachées par les blocs de glace. Crédit Valérie Rohart
La fonte de la banquise doit nous interpeller selon Olafur Eliasson. Crédit Valérie Rohart
La fonte de la banquise doit nous interpeller selon Olafur Eliasson. Crédit Valérie Rohart
La rue Soufflot qui mène au Panthéon, mène pour quelques jours aux blocs de glace de la banquise. Crédit Valérie Rohart
La rue Soufflot qui mène au Panthéon, mène pour quelques jours aux blocs de glace de la banquise. Crédit Valérie Rohart
Le bloc de glace qui symbolise 6h. Crédit Valérie Rohart
Le bloc de glace qui symbolise 6h. Crédit Valérie Rohart
Olafur Eliasson (barbe) aux côtés de Minik Rosing, glaciologue. Crédit Valérie Rohart
Olafur Eliasson (barbe) aux côtés de Minik Rosing, glaciologue. Crédit Valérie Rohart
Olafur Eliasson devant l’un des blocs de « Ice Watch ». Crédit Valérie Rohart
Olafur Eliasson devant l’un des blocs de « Ice Watch ». Crédit Valérie Rohart
Place du Panthéon, les blocs de glace de « Ice Watch » sous le portrait des quatre dernières personnalités admises au Panthéon. Crédit Valérie Rohart. Crédit Valérie Rohart
Place du Panthéon, les blocs de glace de « Ice Watch » sous le portrait des quatre dernières personnalités admises au Panthéon. Crédit Valérie Rohart. Crédit Valérie Rohart
Place du Panthéon, les blocs de glace de « Ice Watch », sous le portrait des quatre dernières personnalités admises au Panthéon. Crédit Valérie Rohart
Place du Panthéon, les blocs de glace de « Ice Watch », sous le portrait des quatre dernières personnalités admises au Panthéon. Crédit Valérie Rohart
Sur les pavés de la place du Panthéon, la glace de la banquise fond lentement. Crédit Valérie Rohart
Sur les pavés de la place du Panthéon, la glace de la banquise fond lentement. Crédit Valérie Rohart
Tassée par les couches supérieures, la glace est par endroit transparente. Crédit Valérie Rohart
Tassée par les couches supérieures, la glace est par endroit transparente. Crédit Valérie Rohart
Un détail de cette glace vieille de 10.000 ans. Crédit Valérie Rohart
Un détail de cette glace vieille de 10.000 ans. Crédit Valérie Rohart
Bruno Julliard est 1er adjoint à la maire de Paris Anne Hidalgo. Il est en charge de la Culture. Crédit Valérie Rohart
Des clowns font irruption au milieu de « Ice Watch ». Crédit Valérie Rohart
Deux parisiennes cachées par les blocs de glace. Crédit Valérie Rohart
La fonte de la banquise doit nous interpeller selon Olafur Eliasson. Crédit Valérie Rohart
La rue Soufflot qui mène au Panthéon, mène pour quelques jours aux blocs de glace de la banquise. Crédit Valérie Rohart
Le bloc de glace qui symbolise 6h. Crédit Valérie Rohart
Olafur Eliasson (barbe) aux côtés de Minik Rosing, glaciologue. Crédit Valérie Rohart
Olafur Eliasson devant l’un des blocs de « Ice Watch ». Crédit Valérie Rohart
Place du Panthéon, les blocs de glace de « Ice Watch » sous le portrait des quatre dernières personnalités admises au Panthéon. Crédit Valérie Rohart. Crédit Valérie Rohart
Place du Panthéon, les blocs de glace de « Ice Watch », sous le portrait des quatre dernières personnalités admises au Panthéon. Crédit Valérie Rohart
Sur les pavés de la place du Panthéon, la glace de la banquise fond lentement. Crédit Valérie Rohart
Tassée par les couches supérieures, la glace est par endroit transparente. Crédit Valérie Rohart
Un détail de cette glace vieille de 10.000 ans. Crédit Valérie Rohart

Sources sonores

  • Olafur : La culture permet-elle de mieux communiquer sur les effets du changement climatique ?

  • Martin : Quelle est cette œuvre ?

  • Martin : C’est paradoxal de transporter ces gros blocs de glace provenant du Groenland, pour dénoncer la fonte des glaces et le réchauffement climatique, dû en grande partie aux transports mondiaux…

  • Martin : La première réaction des gens en arrivant ici c’est de toucher, et pour certains de lécher, la glace. Que ressentez-vous quand vous voyez les gens toucher la glace, notamment les enfants ?

  • Olafur : Quel est le rôle de la culture dans les stratégies à adopter pour surmonter les barrières du changement climatique ?

  • Olafur : Comment les acteurs culturels tels que les artistes, designers et architectes, peuvent-ils contribuer à la recherche des solutions créatives contre les impacts négatifs du changement climatique ?

  • Bruno : La culture permet-elle de mieux communiquer sur les effets du changement climatique ?

  • Bruno : Quel est le rôle de la culture dans les stratégies à adopter pour surmonter les barrières du changement climatique ?

  • Bruno : Comment les acteurs culturels tels que les artistes, designers et architectes, peuvent-ils contribuer à la recherche des solutions créatives contre les impacts négatifs du changement climatique ?