Aude Rapatout enseigne à Bruxelles, au sein de l’établissement catholique Notre Dame des champs. Elle répond aux questions des globe-reporters Ayça, Yasemin, Ece, Ece, Nazli et Deniz du lycée Saint Benoît d’Istanbul, curieux d’en savoir plus sur l’enseignement en Belgique.
Education, jeunesses d’Europe et sports
Uccle est un quartier huppé de la capitale de Belgique. Au 143 de la rue Edith Cavell, l’établissement Notre Dame des Champs accueille des élèves depuis plus d’un siècle. Ce vendredi 23 décembre, dernier jour avant les vacances de fin d’année, il n’y a pas cours. Enfants et parents sont invités à rencontrer les professeurs pour faire un point sur la scolarité de chacun et chacune. Et à midi, du côté des professeurs, on boit un verre autour du boudin de Noël.
Aude Rapatout dans le centre du documentation de Notre Dame des Champs
Un reportage réalisé en janvier 2017
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter ?
Quelles sont les langues obligatoires en Belgique ?
Combien de minutes durent les récréations et que font les élèves pendant les récréations ?
Comment se répartit l’emploi du temps. Y a-t-il beaucoup d’heures de cours dans une journée ?
Quels sont les critères des professeurs pour noter les élèves et quelles sont les méthodes d’évaluation ?
Question bonus : Est-ce qu’il y a un baccalauréat comme en France ?
Quels types d’activités parascolaires font les élèves belges ?
Est-ce qu’une éducation divertissante avec des jeux ludiques et créatifs est encouragée ?
Question bonus : Si on compare les systèmes français et belge, quelles sont les différences ?
Question bonus : quelles sont les différences entre enseignement public et privé ?