La formation professionnelle ; une priorité des autorités béninoises
Publié le 9 mars 2018
Josué AZANDEGBEY est directeur adjoint du cabinet du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Il répond aux questions des globe-reporters du Lycée professionnel Professeur Clerc à Outreau.
EDUCATION ET JEUNESSE
Monsieur Josué AZANDEGBEY reçoit l’envoyée spéciale des globe-reporters dans son bureau du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique à Cotonou. Il se lance immédiatement dans des explications pour expliquer que, contrairement à ce que croyaient les globe-reporters qui ont élaboré cette interview, il existe bien des structures et des cursus de formation professionnelle au Bénin.
Josué AZANDEGBEY reçoit votre envoyée spéciale dans son bureau du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique
De ce fait, notre envoyée spéciale adapte les questions prévues comme c’est souvent le cas lors d’une interview. Un journaliste se présente toujours avec un fil d’entretien et des questions qu’il modifie en fonction de ce que lui dit son interlocuteur.
La formation professionnelle reste un grand défi pour l’état béninois. Josué AZANDEGBEY explique les projets mis en place " Pour former des ouvriers qualifiés et spécialisés qui puissent même être valorisés dans la sous-région ".
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter ?
Au Bénin, quels sont les besoins en professionnels (électriciens, plombiers, etc) ?
Dans l’industrie, quels sont les principaux besoins ?
Comment est organisé l’enseignement professionnel au Bénin ?
Quelles sont les modalités de recrutement quand on veut entrer sur le marché du travail ?
Est-ce qu’il existe encore des formations informelles ?