La première journée de l’envoyée spéciale des globe-reporters à Bruxelles

Publié le 30 avril 2019

Bruxelles, coeur de l’Europe, n’est pas des plus accueillantes quand une tempête de neige s’invite le premier jour de votre arrivée ! Et pourtant, rien d’étonnant pour un mois de décembre. Il en faut plus aux envoyés spéciaux de Globe Reporters pour rebrousser chemin. Revivez avec Sidonie, son arrivée dans la capitale de l’Europe.

Les coulisses des enquêtes

Salut les globes-reporters ! Je suis bien arrivée à Bruxelles après deux heures de route en provenance de Lille. Il faut normalement une heure et vingt minutes, mais la neige était au rendez-vous et il m’a fallu être prudente sur la route ...

L’autoroute qui relie Lille à Bruxelles était en "vigilance orange" en raison des intempéries ce mardi 12 décembre 2017.

Finalement je suis bien arrivée ! La ville avait revêtu un fin manteau blanc. Tout compte fait, je me suis dit que ça avait son charme !

Une belle lumière d’hiver éclairée la capitale belge ! Ici le quartier de Forest, au sud de la ville.

Illico Presto, je me suis mise au travail. J’ai préparé le matériel (un microphone, deux enregistreurs, un appareil photo, et plusieurs cartes mémoires), j’ai vérifié que tout fonctionnait, j’ai ouvert l’ordinateur et je suis partie en quête des premiers contacts ! Un travail fastidieux, mais qui nous permettra de répondre à tous vos questionnaires.

Un café et au travail !

De mails en mails, de coups de téléphone en coups de téléphone, je n’ai pas vu la journée passer ! Mais l’effort n’a pas été vain : une interview décrochée avec un spécialiste ... du hooliganisme ! C’est les globe-reporters du lycée Saint-Benoît d’Istanbul qui vont être contents !

Il est 17h30, il fait déjà nuit.

Manteau, écharpe, bonnet, je décide de me rendre au point de rendez-vous à pied ! Ce n’est pas loin, quinze minutes à peine. Manuel Ibramowicz, journaliste, professeur, spécialiste du hooliganisme m’a donné rendez-vous après son travail dans un café du parvis de Saint Gilles. J’ai rendez-vous à 18h30, mais il m’annonce qu’il aura du retard. J’en profite pour observer les décorations de Noël dans les rues et aux vitrines des boutiques.

La première interview de la mission "Bruxelles, coeur de l’Europe, saison II" s’est parfaitement déroulée. Je décide de rentrer pour préparer la journée de demain. Mais la pluie tombe de nouveau ... le trajet retour se fera donc en métro !

Le métro de Bruxelles, un métro semblable à celui de toutes les villes du monde.

Remarquez-vous quelque chose sur les écritures au fond ? Et oui ! En Belgique, tout est inscrit en deux langues : le français et le flamand, les deux langues officielles du pays.

Parvis Saint-Gilles / St Gillis Voorplein, deux noms, deux langues, un pays.

Et oui, à Bruxelles, tout est traduit en deux langues : le français et le flamand, qui sont les deux langues officielles du pays. Et à Bruxelles, il y a les deux communautés linguistiques réunies. Étonnant, non ?
Fin de la journée. Je recharge les batteries, je regarde ma boîte mail à l’affût des prochaines interviews ... La deuxième saison de notre mission « Bruxelles, coeur de l’Europe » a bien commencé !

Un reportage réalisé en janvier 2018

Les partenaires de la campagne

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