Tous les Syriens ou Syriennes qui vivent au Liban ne sont pas des réfugiés. La preuve avec Lara. Lara est Syrienne. Lara vit au Liban. Lara n’est pourtant pas une réfugiée. Dialogue avec une jeune femme extraordinaire, qui en plus est championne de taekwondo dans son pays.
Carnet de route
Lara
Nous rencontrons Lara à Tripoli, dans le nord du Liban. Notre première discussion a lieu dans le centre-ville, dans un café très connu pour ses pâtisseries. On vient les acheter de tout le Liban.
Pour la seconde rencontre, nous nous rendons sur son lieu de travail, l’ONG Basmeh et Zeitooneh.
Lara raconte son travail auprès des réfugiés. Un labeur difficile mais très enrichissant.
Sources sonores
Lara se présente.
Lara explique son travail à l’ONG Basmeh et Zeitooneh.
Lara est exposée à de nombreuses histoires très dures, mais elle garde le moral en espérant que la guerre en Syrie s’arrête bientôt.
Il ne faut pas embêter Lara, ceinture noire de Taekwondo.
Le quartier où travaille Lara est un quartier difficile, mais Lara n’a pas peur.
Etre syrienne au Liban n’est pas toujours facile.
La famille de Lara habite toujours en Syrie, à Alep.
Que voudrais-tu rajouter pour les globe-reporters ?
Ibrahim Chalhoub est journaliste. Il connaît bien le quartier où travaille Lara et explique pourquoi ce quartier est dangereux.