Après avoir posé les questions des globe-reporters Madeleine, Louise, Sophie, Gabriel, Camille, Margot du collège Notre Dame de Sion, à Paris 6e, au conservateur Mamadou Bailo TRAORÉ, Raphaël KRAFFT part à la découverte du fortin de Boké.
Lors de son interview, l’ancien conservateur du fortin de Boké, Mamadou Bailo TRAORÉ, explique qu’il ne peut compter que sur son fils pour maintenir en vie le lieu et surtout permettre les visites. Notre envoyé spécial suit donc les pas de Mamadou Oury TRAORE.
Le fils a une connaissance encyclopédique des quelques pièces exposées dans le musée. A part la cave où les esclaves étaient emprisonnés avant leur départ pour l’Amérique, le musée ne compte aucune pièce en rapport avec l’esclavage. Mais malgré le temps qui passe, la visite est chargée d’émotion.
L’entrée du fortin de Boké.
Entrée du musée du fortin de Boké.
Carte ancienne du Rio Nunez au bord duquel a été construit le fortin de Boké.
L’entrée de la cave où étaient cachés les esclaves avant leur départ pour l’Amérique après l’abolition de la traite négrière.
La cave où étaient cachés les esclaves avant leur départ pour l’Amérique après l’abolition de la traite négrière.
Statues d’un négrier et son esclave dans la cave où étaient cachés les esclaves avant leur départ pour l’Amérique après l’abolition de la traite négrière.
Le chemin de non-retour qui relie le fortin de Boké à l’embarcadère d’où partaient les esclaves pour l’Amérique.
Mamadou Oury TRAORÉ, fils de Mamadou Bailo TRAORÉ, guide du musée de Boké sur le " chemin de non-retour " qui relie le fortin de Boké à l’embarcadère d’où partaient les esclaves pour l’Amérique.
Mamadou Oury TRAORÉ, fils de Mamadou Bailo TRAORÉ, guide du musée de Boké sur l’embarcadère du Rio Nunez.