Le soumbala, l’ingrédient incontournable de la cuisine burkinabée
Publié le 10 avril 2023
Les globe-reporters du collège Jean-François OEBEN, à Paris, souhaitent connaitre la gastronomie et les spécialités culinaires de Burkina Faso. Leurs recherches les orientent vers le Festival in-ternational de la Gastronomie de Ouagadougou, le FIGO. Olivia BAYALA, coordinatrice du FIGO, répond à leurs questions.
Vie quotidienne
Quels sont les ingrédients particuliers à la cuisine burkinabée ? Depuis quand existe le FIGO ? Quels sont les produits et recettes phares que le FIGO souhaite promouvoir ? Tatiana suit la piste des globe-reporters OEBEN et commence à s’informer sur le FIGO. Le Festival international de la Gastronomie de Ouagadougou se déroule en décembre. C’est un évènement nouvellement créé qui cherche à promouvoir le patrimoine culinaire du Burkina Faso.
Le pays des hommes intègres compte des dizaines d’ethnies qui possèdent des connaissances et des recettes de cuisine uniques, riches et différentes. Olivia BAYALA se bat pour valoriser tous ces savoirs alimentaires. Elle est une des organisatrices du FIGO. Notre envoyée spéciale, la journaliste Tatiana MIRALLES, trouve son contact sur internet. Olivia accepte tout de suite de la rencontrer pour répondre aux questions des globe-reporters et globe-reportrices. Il ne faut pas tarder, car Olivia doit partir au Mali pour représenter le Burkina Faso dans une rencontre internationale de gastronomie.
Selon Olivia, il n’est pas possible de nommer un plat de cuisine unique qui représenterait le pays. Mais il y a quelques ingrédients que tout le monde utilise, comme le soumbala. C’est une épice similaire à un légume qui donne un gout très spécial et caractéristique aux plats. Et si on évoque le soumbala, il faut parler du plat roi, le riz au soumbala. Il existe d’autres ingrédients très utilisés dans le pays. Olivia continue la liste des plats : le babemda, le gonré, le tô, etc.
Tatiana et Olivia, échange sous le manguier du jardin de la Résidence Yipène, un petit hôtel près de la grande mosquée situé au quartier Ouaga 2000, le quartier moderne de la ville. Olivia y travaille en tant que directrice de l’hôtel.
Elle nous explique que le FIGO permet de découvrir la richesse de la cuisine des différents peuples et ethnies du pays. Il y l’embarras du choix, dit Olivia, même si elle souhaiterait que le fameux poulet bicyclette au riz soumbala soit inscrit à l’UNESCO en tant que patrimoine immatériel et culturel.
Une fois l’entretien terminé, Olivia BAYALA dit au revoir et part se préparer pour le Mali. Elle assure que si elle va à Paris, elle ira visiter les globe-reporters et globe-reportrices.
Quels sont les plats traditionnels le plus cuisinés ?
Y a-t-il des plats spéciaux pour les fêtes ?
Question bonus : Qu’est-ce que le babemda et le gonré ?
À part le soumbala, y a-t-il des ingrédients particuliers ?
Y a-t-il des chefs étoilés au Burkina ou des chefs réputés à l’étranger ?
Quand le FIGO a été créé et pourquoi ?
Question bonus : Quel a été le menu FIGO 2023 ?
Comment participer au FIGO ? Est-il ouvert à tout le monde ? Combien de personnes peuvent y participer ?
Quelle est la récompense des lauréates au FIGO ?
Quels sont les produits et recettes phares que le FIGO souhaite promouvoir ?
Quelle est LA recette burkinabé que vous souhaiteriez voir inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO comme le couscous (Maghreb) ou le nsima (Malawi) ?
Question bonus : Message pour les globes reporters et globe-reportrices d’Olivia BALAYA.