Les "Capitales"font rayonner les cultures européennes
Publié le 12 avril 2019
Sylvain PASQUA travaille à la Direction Générale Education et Culture de la Commission Européenne où il s’occupe des Capitales Européennes de la Culture depuis quatre ans. Il répond aux questions des globe-reporters roumains du lycée JL Calderon de Timisoara.
Sciences, cultures et patrimoine
Quand on arpente la rue Joseph II à Bruxelles, difficile de ne pas se sentir « européen ». Située à mi-chemin entre le Parlement et la Commission, la rue compte les sièges de plusieurs Directions Générales de la Commission Européenne : Emploi, Marchés intérieurs, Développement et solidarités, tout y passe ! Finalement, on arrive au numéro 70, où se trouve le bâtiment de la Direction Générale Éducation et Culture où nous attend Sylvain PASQUA.
Un reportage réalisé en janvier 2017
Sources photographiques
Comme Istanbul en 2010, Timisoara sera capitale européenne de la culture en 2021
En 30 ans, 30 villes ont été capitales européennes de la culture
L’affiche de la soirée d’ouverture de Mons 2015 est affichée dans le bureau de Sylvain Pasqua
Sylvain Pasqua s’occupe du programme « Capitales Européennes de la Culture » à la Commission Européenne depuis quatre ans
Sources sonores
Quels sont les objectifs de l’initiative « Capitale européenne de la Culture » ?
Quelles institutions européennes sont impliquées dans cette initiative ?
Quelles sont ses sources de financement ?
Quels bénéfices apporte ce label à une ville ?
Quels en sont les inconvénients ?
Est-ce que les investissements son ensuite amortis ?
Est-ce que l’UE évalue les activités qui ont lieu dans les villes dites capitales européennes de la culture ?
Quel impact a eu ce titre sur la ville de Bruxelles capitale européenne de la culture en 2000 et plus précisément sur la vie des habitants ?
Est-ce que vous vous rappelez d’un événement culturel précis de l’année 2000 à Bruxelles ?
Est-ce qu’il y a beaucoup de touristes qui fréquentent ces événements ?