Les lois nationales contre la cybercriminalité priment en Europe en l’absence de politique commune

Publié le 11 avril 2019

Olivier Bogaert est commissaire à la police judiciaire fédérale de Bruxelles en charge de la cybercriminalité. Il répond aux questions Begüm, Duygu, Merve, Beyza et Berre du lycée Saint Benoît d’Istanbul.

Institutions

Hackers, vol de données, cyberharcèlement… Une nouvelle criminalité est née sur Internet. Les plus jeunes ne sont pas épargnés, même s’ils n’osent pas toujours en parler. Mais des autorités compétentes sont là pour les aider et punir les crimes et délits en ligne dans leurs pays, à défaut de législation européenne commune sur ces questions.

Le dernier livre d’Olivier Bogaert consacre un chapitre entier à la protection des plus jeunes sur internet

Reportage réalisé en janvier 2018

Sources sonores

  • Y a-t-il beaucoup de procès ou de plaintes de jeunes victimes sur Internet ?

  • Les plaintes des jeunes concernent quels types de crimes ?

  • Existe-t-il des lois européennes pour protéger les enfants sur Internet ?

  • Est-ce que les lois nationales en Belgique sont suffisantes pour protéger la jeunesse ?

  • Y a-t-il des juges spéciaux dans les pays européens pour traiter ce type de délits ?

  • Comment les hackers sont-ils punis en Europe ? Est-ce que tous les hackers sont jugés de la même façon ?

  • Avez-vous un mauvais souvenir d’une personne qui a perdu un procès alors qu’elle était victime d’un délit via Internet ? Dans ce cas est-ce qu’on peut faire appel ?

  • Quelles sont les peines les plus lourdes pour ces types de délits ?

  • Pour ces délits est-il plus difficile de trouver des preuves que pour les autres crimes ?

  • Est-ce que la lutte contre les hackers est la même dans tous les pays européens ?

  • Comment est-ce qu’on mène une enquête sur Internet ?

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