Les meilleurs déchets sont ceux que l’on ne produit pas
Publié le 13 décembre 2015
Le Liban a vécu l’été 2015 au rythme de la « crise des déchets ». Des centaines et des centaines de tonnes de détritus se sont accumulés sur les trottoirs de Beyrouth. Une situation qui inquiète les globe-reporters du collège de la fille de la Charité, à Beyrouth. Ils mènent l’enquête.
La biodiversité dans tous ses états
Catherine Boux est la directrice général adjointe chargé de l’exploitation au SYCTOM, un regroupement syndical pour le traitement des déchets, et Delphine Levi Alvares est la responsable du plaidoyer et des relations institutionnelles pour l’ONG Zero Waste. Toutes deux répondent aux globe-reporters.
Delphine Levi Alvares, responsable du plaidoyer des relations institutionnelles à Zero Waste.
Sources sonores
Catherine Boux, pouvez-vous vous présenter ?
C.B. On remarque que plusieurs municipalités traitent leurs ordures par incinération. Quelles sont les conséquences sur notre santé et notre vie quotidienne ?
C.B. Quand les ordures ne sont pas traitées, quelles sont les conséquences pour la population ?
C.B. Quels sont les 3R ?
C.B. Est-ce possible d’avoir un recyclage « zero waste ? »
C.B. Comment une guerre peut augmenter les ordures ?
C.B. Sous combien de groupes peuvent être classées les ordures ménagères ?
C.B. Qu’est-ce que le tri mécano-biologique ?
C.B. La transformation des matières organiques contenues dans ces déchets et gaz peut-elle aboutir à un environnement sain et sauf ?
Delphine Levi Alvares, que peuvent faire les Libanais pour régler la crise des déchets au Liban ?
D.L.A. Les Libanais ont quand même le pouvoir de voter et d’exiger de leurs dirigeants que cette question soit une priorité ?
D.L.A. Que pourrait faire le gouvernement libanais pour trouver une solution à cette crise ?
D.L.A. Le Liban produit 1,5 million de tonnes de déchets par an, quelle méthode le gouvernement libanais peut utiliser pour éliminer ces déchets ?
D.L.A. Quels sont les problèmes sanitaires générés par ces ordures non traitées ?
D.L.A. Au Liban, est-ce qu’il n’y a pas un problème de prise de conscience des enjeux liés au traitement des déchets ? Le pays pense plus à la construction d’après-guerre qu’au tri des déchets ?