Mounir ou la nostalgie du quotidien d’avant-guerre
Publié le 11 février 2016
Tous les matins, l’envoyé spécial va acheter son journal L’Orient-Le Jour chez Mounir Choueiri. A force, ils sont devenus amis et Mounir a tout de suite accepté de répondre aux questions de Nia et Camélia, des globe-reporters du collège Georges Rouault, à Paris.
Vie quotidienne
A 71 ans, Mounir a connu le Liban d’hier, celui d’avant la guerre. Il s’en rappelle avec nostalgie en racontant les difficultés que les Libanais rencontrent aujourd’hui dans leur vie quotidienne.
Avant de dire au revoir, il sort ses albums photos. Avec les souvenirs, revient le sourire.
Sources photographiques
Sources sonores
Pourquoi pouvez-vous répondre à ce questionnaire ?
Quel est le salaire moyen libanais ? Est-il suffisant pour faire vivre une famille entière au Liban ?
Quel est le coût de la vie ?
Et vous, comment faites-vous pour vivre ? Quel est votre travail ?
Comment dépensez-vous votre salaire ?
Les gens arrivent-ils à épargner ?
A quoi ressemble votre quotidien à Beyrouth ?
Après la guerre civile, le niveau de vie au Liban a-t-il baissé ?
Après la guerre, dans quel état étaient les habitations au Liban ? Les bâtiments étaient-ils détruits ?
Et vous, où habitez-vous ?
Avez-vous un téléphone portable ? Est-ce que ça coûte cher ?
Donc les gens ne gagnent pas beaucoup d’argent et pourtant tout est cher ?
Peut-on dire que vous avez vécu l’âge d’or du Liban ?
Etes-vous triste des changements qu’a connus le Liban ?
Un dernier mot sur le Liban pour les globe-reporters ?