“On ne doit pas se fatiguer du travail pour l’environnement”, Abdelrahim Ksiri
Publié le 11 novembre 2016
Abdelrahim Ksiri est Président de l’association des enseignants de SVT du Maroc. Il répond aux questions des globe-reporters Theo, Melyna, Shuman et Xinyan Su du collège français de Montréal sur le dénommé "septième continent".
Notre planète : Etat des lieux
Sources photographiques
Abdelrahim Ksiri, président de l’AESVT
Exposition sur le plastique en mer sur le stand de l’AESVT
Exposition sur le plastique en mer sur le stand de l’AESVT
Sur le stand de l’AESVT
Sur le stand de l’AESVT
Sources sonores
Abdelrahim Ksiri, pouvons-nous vivre sur les continents plastiques ?
Abdelrahim Ksiri, qu’est-ce qu’on pourrait faire pour éviter d’avoir du plastique dans l’eau ?
Abdelrahim Ksiri, pourquoi les gouvernements de plusieurs pays n’obligent pas les grosses compagnies à utiliser du plastique biodégradable ? Pourquoi ce n’est pas une loi si la propreté de nos océans est tellement importante ?
Abdelrahim Ksiri, si tout le plastique devient biodégradable, comment la qualité de nos océans évoluera-t-elle dans le futur ?
Abdelrahim Ksiri, si on ne peut pas produire du plastique biodégradable, comment pouvons-nous produire du plastique non toxique pour préserver la faune ?
Abdelrahim Ksiri, que pourrons-nous faire pour sauver les animaux marins du plastique qu’ils mangent ou dans lequel ils se trouvent piégés ?
Abdelrahim Ksiri, si on n’arrive pas à une entente pour traiter les continents de plastique, que va-t-il se passer dans les océans ?
Abdelrahim Ksiri, d’après vous, si on continue à produire des déchets de plastiques, dans combien de temps le problème sera-t-il irréversible ?