Partir à l’étranger : « une ouverture d’esprit en accéléré »
Publié le 1er avril 2021
Les globe-reporters du lycée Saint-Benoît à Istanbul veulent en savoir plus sur la possibilité de partir à l’étranger lorsqu’on est encore au collège ou au lycée. Réponses avec Marion ROUDY de l’association AFS Île-de-France.
Education, jeunesses d’Europe et sports
Comme de nombreux jeunes européens, Deniz, Beril, Aslı, Pelin, Ufuk et Anastasiya rêvent de découvrir le monde et tout particulièrement à l’occasion de leurs études.
L’une d’entre eux est déjà partie avec le programme AFS qu’elle souhaite faire découvrir plus largement. Notre envoyée spéciale Valérie ROHART prend donc rendez-vous avec Marion ROUDY, présidente de l’association affiliée AFS Île-de-France. Quel est cet acronyme ? Que veut dire AFSN ? Il faut remonter dans le temps pour comprendre pourquoi l’association n’est connue que sous ces 3 lettres. AFS signifie American Ambulance Field Service, c’est à dire Service des ambulances de terrain. Quel lien avec des jeunes qui partent étudier à l’étranger ?!?!
Ce service qui est né avec des volontaires pendant la 1ère guerre mondiale s’est transformé en une organisation dédiée à la promotion de la paix. Et quoi de mieux pour promouvoir la paix, que de connaître l’autre, son voisin ou celui qui habite loin de nous ? L’objectif affiché d’AFS est désormais : « aider à construire un monde plus pacifique en encourageant la compréhension mutuelle entre les cultures ».
Des valeurs qui rejoignent celles de Globe Reporters. Marion Roudy a donc rapidement répondu favorablement à notre demande d’interview. Le rendez-vous a été plusieurs fois reporté dont une fois pour des raisons liées au Covid. Le risque écarté, Marion Roudy nous a amicalement ouvert sa porte dans une petite rue du XXème arrondissement.