Monsieur Mohammad Taha est le directeur de l’école primaire du quartier El Aamiliye de Beyrouth. Il répond aux globe-reporters Kylie et Delya du collège Georges Rouault, à Paris.
Education et jeunesse
Le quartier El Aamiliye est dans Beyrouth Ouest, proche de ce qui fut la ligne de démarcation lors de la guerre civile.
La création de l’école remonte à l’année 1923, mais c’est en 1947 que la fondation qui gère cette école privée décide de s’installer dans le quartier actuel
L’école a beaucoup souffert de la guerre civile. Aujourd’hui, comment maintenir un équilibre financier et garantir des études de qualité aux élèves ? Il faut trouver un équilibre et c’est délicat.
Sources photographiques
Salle de classe de l’école primaire.
Cours d’arabe.
Cours d’anglais.
Salle informatique.
Des figures géométiques dans les couloirs pour aider les élèves qui ont des difficultés en mathématiques.
Machine à calcul.
Cours de mathématiques.
Cours de français.
C’est l’heure de la récréation.
Décorations dans la cage d’escaliers.
La cafétéria intérieure.
Pas forcément très diététique...
La cour de l’école élémentaire.
Un batiment imposant construit en 1947.
Uniforme de rigueur.
La boutique à manouché dans la cour.
La cafétéria extérieure.
Monsieur Taha, le directeur, avec des élèves.
Des élèves.
Une dédicace aux globe-reporters.
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter ?
Combien y a-t-il d’écoles primaires à Beyrouth ?
Expliquez-nous cette différence entre écoles publiques et privées au Liban ?
Les écoles au Liban, sont-elles laïques ?
Où se trouve votre établissement ?
Dans votre école, combien y a-t-il d’élèves ?
Avez-vous des activités d’éducation artistique ?
Avez-vous une cantine ?
Quels sont les horaires ?
Y a-t-il une infirmerie ?
Les élèves prennent-ils des transports pour venir ?