Riche ou pauvre, prendre le virage de l’énergie renouvelable
Publié le 6 décembre 2015
L’accord qui doit être signé à Paris à l’issue de la COP21 sera la première entente mondiale pour que pays riches et pays pauvres s’engagent ensemble à lutter contre le réchauffement climatique. Patrick Bonnin est responsable climat-énergie chez Greenpeace Canada. Il répond aux questions de Daria, Eduarda, Orina et Raquel du collège français de Montréal, à propos de la coopération Nord/Sud dans la lutte contre le réchauffement climatique.
La biodiversité dans tous ses états
Patrick Bonnin, responsable climat-énergie chez Greenpeace Canada
Les deux arbres éoliens de la COP21. Crédit Photo Valérie Rohart
Les pales de cet arbre éolien, sont conçues pour tourner avec le moindre souffle d’air. Crédit Photo Valérie Rohart
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter et nous décrire votre action au sein de cette COP21 ?
Pourquoi ne pas créer des protocoles pour pouvoir réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les pays en développement ?
Comment les pays développés pourraient aider les moins développés à évoluer en polluant moins ?
Pourquoi les pays qui utilisent beaucoup de ressources énergétiques polluantes ne les changeraient-ils pas pour des moins polluantes ?
Pourquoi les gouvernements n’imposent-ils pas des lois pour que les citoyens diminuent leur consommation d’énergies polluantes ?
Si les citoyens doivent absolument contribuer à la lutte contre les changements climatiques, pourquoi les lois et les mesures ne sont-elles pas imposées aux citoyens canadiens ?
Quelles sont les solutions que vous proposez d’accomplir pour les pays émergents ?
Quels sont les pays dans lesquels notre gouvernement peut-il investir pour lutter contre les changements climatiques ?