Au Liban, les familles dépensent jusqu’à 45% de leurs revenus pour payer les études de leurs enfants

Publié le 1er mars 2016

Monsieur Mohammad Taha est le directeur de l’école primaire du quartier El Aamiliye de Beyrouth. Il répond aux questions d’Ines, Soreya, Coralie et Emeline du lycée Einstein de Sainte-Geneviève des bois dans l’Essonne (91) et d’Adama, Loréna, Sara et Fatoumata du lycée Jacques Monod de Paris.

Education et jeunesse

Le directeur et des élèves dans la cour de l’école

Sources sonores

  • Est-ce qu’il existe des diplômes comme le brevet et le baccalauréat au Liban ?

  • Est-ce qu’il y a des lycées professionnels ?

  • En cas d’échec scolaire, est-ce que les élèves peuvent abandonner l’école ?

  • Est-ce qu’il y a des cycles comme en France ?

  • Est-ce qu’il y a des cycles comme en France ?

  • Vous parlez de classe idéale. De quoi s’agit-il ?

  • Quand les élèves ont de mauvais résultats scolaires, que faites-vous ?

Téléchargements

Les partenaires de la campagne

  • Région PACA
  • Institut français du Liban
  • Fondation SNCF