Le Bénin, un pays qui ne laisse pas indifférents ceux qui y viennent

Publié le 14 mars 2018

Bouchra IDRI vit à Cotonou et travaille à l’ambassade de France en tant que chargée de communication. Elle raconte ses impressions sur la vie à Cotonou et partage son expérience de la ville en répondant aux questions des globe-reporters Valentin et Enzo du lycée Albert Einstein à Sainte-Geneviève-des-Bois (91).

VIE QUOTIDIENNE

C’est grâce à Méline MALIFOT, de l’Institut français, que notre envoyée spéciale rencontre Bouchra IDRI, une jeune Française très active qui habite à Cotonou depuis septembre 2017 dans le quartier de Fidjrosse. L’interview se déroule à l’heure du déjeuner, dans un petit restaurant proche de son lieu de travail.

Bouchra IDRI

Bien souvent, quand un journaliste sollicite un entretien, après avoir accepté le principe de la rencontre, les interlocuteurs cherchent un trou dans leur agenda. Pas toujours facile de trouver une petite heure entre les contraintes professionnelles et les charges familiales. L’heure du déjeuner est souvent proposée. Mais pour un journaliste, faire une interview en déjeunant n’ai pas aisé. Puis l’endroit choisi pour la rencontre est souvent bruyant pour les enregistrements. Mais quand il n’y a pas d’autre choix, les journalistes ne font pas la fine bouche et acceptent bien sûr le rendez-vous.

Sources sonores

  • Pouvez-vous nous présenter ?

  • Quelles sont vos premières impressions du Bénin ?

  • Est-ce que c’est vrai que les habitants de Cotonou vivent sans stress ?

  • Est-ce qu’on ressent de la violence ?

  • Est-ce qu’il est facile de se loger ou est-ce cher ?

  • Quelles sont les relations entre voisins dans votre quartier Fidjrosse ?

  • Est-ce qu’il y a beaucoup de lieux où rencontrer des amis ?

  • Est-ce que le réseau de transport est efficace ?