Gnona AFANGBEDJI est un journaliste béninois spécialisé en économie qui travaille pour un organisme international d’aide au développement. C’est aussi un consommateur avisé. Il répond aux questions des globe-reporters Lucie et Félix du Lycée Albert Einstein à Sainte-Geneviève-des-Bois (91).
VIE QUOTIDIENNE
Est-il possible de vivre dans un pays sans supermarchés ? Où les gens s’approvisionnent-ils ? Quelles sont les raisons qui font fuir les grandes enseignes ? Existent-ils encore des endroits sur terre où il est possible de ne pas être esclave de la consommation ? Au Bénin, pays d’où sont partis bon nombre d’esclaves du temps de la traite négrière, il semble qu’on arrive encore à résister aux sirènes de la publicité.
Le journaliste Gnoma AFANGBEDJI
C’est grâce au journaliste Alain TOUSSONON que notre envoyée spéciale rencontre Gnona AFANGBEDJI. Entre journalistes, comme dans les autres professions, il est préférable de s’entraider plutôt que le contraire. Surtout quand le ou la collègue vient d’un pays étranger. Il s’agit de montrer qu’on sait recevoir. Monsieur Gnona AFANGBEDJI accueille avec plaisir Tatiana et prend le temps de répondre avec précision malgré un emploi du temps chargé.
Sources sonores
Nous avons vu que les supermarchés et hypermarchés sont présents dans le sud du Bénin, dans les villes de Cotonou et de Porto Novo principalement. Qu’en est-il du reste du pays ?
Comment fait-on dans le nord du pays pour s’approvisionner ?
La forme du Bénin influe-t-elle sur la répartition des hypermarchés et supermarchés dans tout le pays ?
Existe-t-il des chaînes commerciales ? Si oui, y en a-t-il qui sont également présentes en France ou sont-elles béninoises ?
Quels sont les produits que les Béninois achètent le plus en supermarché ? Plutôt des produits de première nécessité ou de seconde nécessité ?
