Les baleines sont les ambassadrices de la protection des océans

Publié le 6 décembre 2019

L’île de La Réunion est un havre pour les baleines. Le Québec aussi ! Samuel et Tifenn, globe-reporters réunionnais du collège L’ETANG SAINT-PAUL, s’intéressent à ces mammifères marins du côté de l’Atlantique. Lyne MORISSETTE, experte en biologie marine, est ravie de répondre à leurs questions.

DEVELOPPEMENT DURABLE ET ENVIRONNEMENT

En plus du GREMM (Groupe de recherche et d’éducation sur les mammifères marins), que notre envoyée spéciale rencontre à Québec, d’autres scientifiques sont impliqués dans la recherche sur les mammifères marins. Parmi eux, Lyne MORISSETTE est emblématique. Elle a même inspiré une poupée Barbie canadienne qui protège les animaux !

Passionnée des baleines, elle travaille pour M - Expertise Marine, une firme d’experts en sciences marines. Ils réalisent des études pour la protection des espèces, organisent des conférences et mettent en place des projets éducatifs dans les écoles. Lyne fait aussi partie de la Mission 100 tonnes, qui vise à nettoyer les déchets du Saint-Laurent. En presque un an, ils ont ramassé plus de 78 tonnes de déchets. C’est d’ailleurs en ayant eu vent de ce projet que Pascale GUERICOLAS, journaliste à Québec, donne le nom de Lyne MORISSETTE à Marine.

Pour entrer en contact avec elle, Marine lui envoie un mail en lui précisant les dates de sa présence sur Québec. Lyne MORISSETTE habite à Rimouski, en Gaspésie. Par chance, elle passe à Québec quand notre envoyée spéciale est sur place. Elles se donnent rendez-vous à l’Université Laval, dans un laboratoire de biologie marine. Il est situé dans le pavillon VACHON, là où se trouvent toutes les disciplines scientifiques.

Avant de questionner Lyne MORISSETTE, Marine a une autre interview dans le pavillon F-A SAVARD. De là, elle passe par les couloirs souterrains de l’université pour rejoindre l’autre pavillon. Ces couloirs sont assez surprenants. Ils relient tous les pavillons et même les résidences universitaires, les épiceries et les arrêts de bus. Certains peuvent donc passer tout l’hiver sans sortir dehors ! Il existe aussi des petites voiturettes pour circuler dans les souterrains. C’est utile quand on a tendance à être en retard !

Arrivée au laboratoire, notre envoyée spéciale est dans son élément, car elle adore tout ce qui touche à la mer (son prénom y est sans doute pour quelque chose). Elle est d’ailleurs très bien accueillie par Lyne et les autres biologistes, qui lui montrent sur quoi ils travaillent.

Interview réalisée en novembre 2019

Sources photographiques

Un couloir souterrain de l’université Laval.
Un couloir souterrain de l’université Laval.
Le plan des souterrains du campus.
Le plan des souterrains du campus.
Une intersection dans le souterrain.
Une intersection dans le souterrain.
Des panneaux qui indiquent les directions des pavillons.
Des panneaux qui indiquent les directions des pavillons.
Un couloir souterrain. Les étudiants peuvent prendre des voiturettes pour circuler dans les souterrains.
Un couloir souterrain. Les étudiants peuvent prendre des voiturettes pour circuler dans les souterrains.
Des tags d’universitaires dans les couloirs.
Des tags d’universitaires dans les couloirs.
Le couloir souterrain qui mène au pavillon VACHON.
Le couloir souterrain qui mène au pavillon VACHON.
Lyne MORISSETTE dans un laboratoire de biologie marine.
Lyne MORISSETTE dans un laboratoire de biologie marine.
Le laboratoire de biologie marine.
Le laboratoire de biologie marine.
Lyne MORISSETTE montre des photos de baleines qu’elle a prises. Ici, le souffle d’une baleine noire, qui a la particularité d’être en « V ».
Lyne MORISSETTE montre des photos de baleines qu’elle a prises. Ici, le souffle d’une baleine noire, qui a la particularité d’être en « V ».
La queue d’une baleine à bosse.
La queue d’une baleine à bosse.
La queue d’une baleine, avec des marques distinctives. Lyne précise que l’on reconnaît chaque baleine par ces marques, comme pour des empreintes digitales.
La queue d’une baleine, avec des marques distinctives. Lyne précise que l’on reconnaît chaque baleine par ces marques, comme pour des empreintes digitales.
Une espèce proche du krill examinée au microscope.
Une espèce proche du krill examinée au microscope.
Un couloir souterrain de l’université Laval.
Le plan des souterrains du campus.
Une intersection dans le souterrain.
Des panneaux qui indiquent les directions des pavillons.
Un couloir souterrain. Les étudiants peuvent prendre des voiturettes pour circuler dans les souterrains.
Des tags d’universitaires dans les couloirs.
Le couloir souterrain qui mène au pavillon VACHON.
Lyne MORISSETTE dans un laboratoire de biologie marine.
Le laboratoire de biologie marine.
Lyne MORISSETTE montre des photos de baleines qu’elle a prises. Ici, le souffle d’une baleine noire, qui a la particularité d’être en « V ».
La queue d’une baleine à bosse.
La queue d’une baleine, avec des marques distinctives. Lyne précise que l’on reconnaît chaque baleine par ces marques, comme pour des empreintes digitales.
Une espèce proche du krill examinée au microscope.

Sources sonores

  • Comment faut-il vous présenter ?

  • Comment peut-on voir les baleines ?

  • Quelles espèces peut-on voir au Québec ?

  • Y a-t-il des risques en allant voir les baleines ?

  • Est-ce qu’il y a une charte pour aller les observer ?

  • En quelles périodes de l’année sont-elles le plus visible ?

  • De quoi se nourrissent-elles ?

  • Que pensent les québécois des baleines ?

  • Comment s’occupent-elles de leurs petits ?

  • Comment font-elles pour se reproduire ?

  • Comment nourrissent-elles leurs petits ?

  • Comment font-elles pour se déplacer ?

  • Rencontrent-elles des problèmes lors de leurs trajets ? Quels sont les dangers pour les baleines ?

  • Y a-t-il des dangers liés l’homme ? Comment pourrait-on les protéger de l’homme ?

  • Y a-t-il une charte de protection des baleines ?

  • Y a-t-il des prédateurs pour les baleines et les baleineaux ?

  • Sont-elles dangereuses pour l’homme ?

  • De qui sont-elles les prédatrices ?

  • Vous connaissez l’île de La Réunion. Pour quelle raison ?