Liliane est professeure. Madeleine est médecin. Toutes les deux ont habité Beyrouth au moment de la guerre civile. Elles se rappellent de cette époque en répondant aux questions de Marie, Gina, Margot et Auriane du lycée Simone Signoret de Vaux le Pénil et à celles d’Élisa et d’Eugénie du collège André Citroën de Paris.
Economie, histoire et politique
Sources photographiques
Liliane Buccianti-Barakat
La maison jaune qui fut propriété de la famille Barakat
La maison jaune qui devrait devenir un musée
La maison jaune
Un exemple de demeure bourgeoise à Beyrouth, la maison Sursock
Le salon arabe de Nicolas Sursock
La demeure est devenu le musée Surscok
Explications dans le musée
Le bureau a été conservé tel quel
C’est aujourd’hui un endroit qui se visite
Portrait de l’ancien maitre des lieux
Madeleine Badaro Taha
Sources sonores
Pourquoi n’y a-t-il pas de mémorial aux morts de la guerre civile ?
Y a-t-il un endroit qui pourrait servir de mémorial ?
Avant la guerre, qui vivait dans la maison jaune ?
Pourquoi la période de la guerre civile n’est pas enseignée à l’école ?
Pourquoi le gouvernement a-t-il mis en place une loi d’amnistie ?
Comment a été vécu l’assassinat du président Bachir Gemayel ?
Beyrouth aujourd’hui, est-ce que la ville est encore divisée par confessions religieuses ?
Est-ce la rue de Damais qu’on appelait la ligne verte ?
Aujourd’hui, l’ambassade de France est située rue de Damas. Est-ce que cela a toujours été comme cela ?
Avez-vous encore un mot à ajouter ?
Madeleine Taha, médecin, raconte ses souvenirs de la guerre civile.
Madeleine Taha, quels souvenirs gardez-vous de cette époque ?