A Madagascar, les classes sont souvent pléthoriques
Publié le 16 mars 2024
Zoé, Elodie, Jurelma, Gabriel, Ilyane, Roméo et Angélique, globe reporters et globe reportrices du collège Îles de Loire veulent connaître le quotidien des étudiants malgaches. Njatovola ANDRIANALIVELO, chef de Division de la formation administrative et pédagogique de Tanà-ville, répond à leurs questions.
Education et jeunesse
C’est grâce aux contacts pris en France, avant son départ pour Madagascar, que Tatiana MIRALLES arrive à l’établissement scolaire public Analakely, une école primaire. L’envoyée spéciale est là pour interviewer à la directrice dans son bureau.
L’école est située au pied de la colline où débute la ville haute, toute proche de l’avenue de l’Indépendance, une large et une importante artère de la ville basse avec un boulevard et des bâtiments élégants qui débouche sur la gare ferroviaire. À quelques mètres de là commence la ville haute, avec ses rues qui montent et descendent et qui forment la partie ancienne de la ville où l’on trouve le palais des anciens rois.
L’envoyée spéciale arrive un peu l’avance, l’école est silencieuse et plongée dans la pénombre. Tout est étrangement tranquille pour un établissement aussi grand. La directrice de l’école arrive quelques minutes plus tard après accompagnée d’un collègue, Njatovola ANDRIANALIVELO qui le chef de Division de la formation administrative et pédagogique de cette circonscription scolaire du centre-ville.
C’est une bonne surprise pour Tatiana qui réalise que Njatovola ANDRIANALIVELO est la personne idéale pour répondre aux questions des étudiantes et étudiants de 5ème du Collège Albert Vinçon. Notre envoyée spéciale propose donc une interview impromptue et Njatovola dit qu’il sera ravi de répondre.
Tatiana réalise donc deux interviews dans le calme d’un établissement scolaire dont les élèves sont en vacances. Au moment de se dire au revoir, Tatiana est chaleureusement invitée à revenir quand les élèves seront rentrés de vacances et que les cours auront repris.