À Québec, « le cheerleading, c’est jusqu’au bout des doigts ! »
Publié le 6 novembre 2022
Les globe-reporters de l’école du centre à Douchy-les-Mines ont découvert l’existence du cheerleading lors d’une visio avec les globe-reporters de l’école Anne Hébert à Québec. Léa et Antoine, deux globe-reporters québécois pratiquent ce sport et ont aiguisé la curiosité des globe-reporters français à ce sujet. Il n’en fallait pas plus pour commander un reportage à leur envoyée spéciale à Québec, la journaliste Sidonie HADOUX.
EDUCATION ET JEUNESSE
Léa, une globe-reporter de l’école Anne Hébert pratique le cheerleading dans un club à Québec. L’envoyée spéciale des globe-reporters passe donc par elle, et son professeur, pour avoir le contact de son club. C’est Laurie-Anne Beaudin, entraineuse et directrice du Québec Cobras Cheerleading Club qui répond à Sidonie :
« Absolument ! Vous pourriez venir prendre des prises de vue le samedi 5 novembre.
Quels sont vos besoins (temps, espace, autre) ?
Je pourrai ainsi m’assurer de mettre le tout en place !
Merci et bonne soirée,
Laurie-Anne BEAUDIN. »
L’entrainement a lieu de 10h à 12h00 dans un local de la rue Franck-Carrel à Québec. Sidonie s’y rend à pied, le temps d’une marche matinale de 30 minutes. Quand elle arrive sur place, l’entrainement vient de commencer et les athlètes sont en train de s’échauffer. Léa fait signe à Sidonie et Laurie-Anne accueille la journaliste avec enthousiasme. « Venez me voir quand vous voulez pour l’entrevue. Prenez votre temps, en deux heures vous aurez tout le temps nécessaire pour vos prises de vue ! ».
Sidonie se présente aux athlètes et explique la raison de sa venue. Puis, elle se fait la plus discrète possible le temps de récolter des sons d’ambiance et des photos pour les besoins de la commande.
En milieu de séance, la journaliste invite Laurie-Anne à sortir du local pour réaliser l’interview des globe-reporters.
Dans la salle, l’entrainement se passe exactement comme Léa a expliqué la veille, quand Sidonie l’a rencontrée en classe. D’abord on s’échauffe pour ne pas se blesser, et puis les athlètes sont invitées à s’assoir pour écouter la musique de leur chorégraphie. Elles sont actuellement en train de l’apprendre. Une deuxième écoute leur permet de compter les pulsations. Ensuite, elles travaillent les portés avec les voltiges. Chaque temps d’exercice est entrecoupé de pause pour que les jeunes athlètes aillent s’hydrater.
Sidonie se faufile entre les groupes pour les photographier, tout en essayant de ne gêner aucun mouvement. La journaliste a l’habitude de se faire discrète même si elle sait qu’un appareil photo et un micro ne passent jamais inaperçus. A la fin de l’entrainement, elle demande au groupe de poser pour une photo finale.
Pour les entraineuses, la pause est rapide car elles enchaînent avec un autre groupe. Léa, elle aussi reste : elle se forme pour être coach. Elle n’a que quelques minute pour manger avant de continuer jusque 14h00, cette fois en tant qu’apprentie entraineuse.
Merci au Québec Cobras Cheerleading pour leur accueil !