Trottoirs verglacés, température polaire, circulation dense : aucun doute, je suis bien à Bucarest !

Carnet de route

J’ai décollé de l’aéroport Charles de Gaulle à Paris en début d’après-midi. J’ai emporté un gros sac à dos rempli de vêtements chauds et un plus petit sac que j’ai gardé avec moi dans l’avion. Il contient mon matériel fragile : ordinateur, appareil photo / caméra, micro. j’ai glissé avec vos questions que j’ai imprimées avant de partir.

Paris dans le brouillard

Paris était dans le brouillard aujourd’hui, mais aussitôt après le décollage nous sommes passés au dessus des nuages où il y avait un grand ciel bleu. Je suis partie avec la compagnie nationale TAROM.

Le ciel bleu au-dessus des nuages

Le vol a duré 2h30, j’ai atterri à 16h45. A l’arrivée au-dessus de Bucarest, tous les paysages étaient recouverts de neige. J’ai vu un joli coucher de soleil en sortant de l’avion.

Neige vue depuis l’avion

Coucher de soleil à l’atterrissage

J’ai pris un bus express qui permet de rejoindre le centre-ville en 45 minutes. Comme il fait très froid (- 7 degrés !), je suis allée directement à l’auberge de jeunesse. Elle est en plein centre de Bucarest, avec le métro et le bus à 5 minutes.

L’auberge de jeunesse s’appelle le Umbrella Hostel

Le métro et le bus se prennent sur une grande place qui s’appelle piata Romana (place Romaine), sur laquelle il y a une immense bouteille de Coca-Cola accrochée sur un immeuble.

Piata Romana

L’auberge de jeunesse est calme. il y a des chambres de 2, 4 ou 8 personnes. Moi j’ai une chambre de 2 pour moi toute seule. Il y a du chauffage, du wifi, une cuisine pour se faire à manger et même une télé !

Salle commune à l’auberge

Cet endroit va être très bien pour éditer mes interviews le soir. Je commence dès demain matin ! Je vais rester à Bucarest 10 jours, jusqu’au 17 janvier, puis j’irai à Brasov, Sibu, Cluj et Bistrita.

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