CETAMADA veille à la protection des baleines à Madagascar
Publié le 12 mars 2024
Méloée, Rose, Lilian, Clara, Cécilia, Jade et Jules, globe reporters et reportrices en 2nde professionnelle Service aux Personnes au Lycée Charles PEGUY à Gorges, demandent à leur envoyée spéciale à Madagascar de rencontrer un/e responsable de l’association Cétamada pour parler de l’impact du réchauffement climatique sur le mode de vie des baleines. C’est Avana Alycia ANDRIANASOLO, chargée de communication de l’association, qui reçoit Globe Reporters dans son siège à Tanà.
Développement durable et environnement
Les globe-reporters de Gorges ont donné des directives claires à leur envoyée spéciale, la journaliste Tatiana MIRALLES, interviewer l’organisation Cétamada pour connaitre mieux le mode de vie des baleines et les raisons de leur venue chaque année sur les cotes malgaches. Quelles sont les conséquences du réchauffement climatique sur leur milieu de vie ? Que fait Cétamada pour les protéger ? Tatiana va à la rencontre d’Avana Alycia ANDRIANASOLO qui, avant de devenir chargée de communication de cette organisation, a été écovolontaire. L’observation des baleines est « une expérience magique » dit-elle émue.
Cétamada a un siège à l’île Sainte-Marie, sur la côte est du pays où les baleines à bosse viennent chaque année pour se reproduire. Cela contribue à une hausse de la fréquentation touristique sur les côtes. Cétamada travaille pour développer un tourisme écologique et responsable.
Après un échange par téléphone, Tatiana et Avana se rencontrent dans les bureaux de l’organisation à Tanà. Ils sont situés dans le quartier Water Front, avec des hôtels, un centre commercial et des maisons de luxe. Les gardes de sécurité privée qui veillent sur le quartier informent l’envoyée spéciale qu’il est interdit de prendre des photos.
Le bureau de Cétamada est situé dans une maison en hauteur dans la limite de Water Front. En arrivant, Tatiana rencontre Avana Alycia ANDRIANASOLO et Ifaliana Voarintsoa Fanomezana ANDRIANAMANANJARA, chargée de projet scientifique dans l’organisation. Toutes les deux se penchent sur les questions pour bien préparer les réponses d’Avana et s’assurer que les explications sont scientifiquement correctes.
Après l’interview toutes les trois parlent de l’expérience d’être écovolontaire, « quelque chose que tout le monde devrait faire une fois dans leur vie », disent-elles.
Le « Festival des baleines » permet-il de sensibiliser la population à la protection de l’espèce, comment ? Ou à l’inverse, cela nuit-il aux baleines ?
Pouvez-vous vous présenter et nous parler de Cétamada ?
Pourquoi trouve-t-on des baleines dans cette région ? Quel est leur mode de vie ?
Quelle est la période pour observer les baleines ? Cette période a-t-elle changé à cause du réchauffement climatique ?
Quelles sont les conséquences du changement climatique sur leur milieu de vie ?
En quoi les baleines sont-elles une espèce menacée ou en voie d’extinction ?
Pourquoi et comment sont-elles protégées ?
Question bonus ; quelle a été votre réaction la première fois que vous avez vu des baleines ?
Est-ce qu’il y a beaucoup de baleines échouées sur les plages de Madagascar ? Si oui, quelles en sont les causes ?
Quelles sont les autres espèces (faune et flore) du milieu marin menacées par le réchauffement climatique ?
Quel est l’impact de l’Homme sur cet environnement (pêche locale/industrielle, braconnage, etc.) ?
Comment la population est-elle sensibilisée à Madagascar ?
Question bonus : Avez-vous un message pour les globe-reporters et les globe-reportrices ?