Une fois à Bangkok, pour se rendre à Vientiane, il y a trois moyens. L’avion ; le plus cher. Le bus ; le plus économique. Le train ; le plus sympa.
10h00 du matin. Voilà enfin le Laos !
À la douane laotienne, il faut demander un visa.
À Nong Khai, la frontière, c’est le fleuve Mékong. Un pont permet de franchir le fleuve.
Après la douane, il faudra reprendre un transport pour se rendre à Vientiane qui est à une vingtaine de kilomètres.
Au lever du jour, le train roule encore.
Au milieu du pont, voici au Laos.
Avant de traverser le pont, il faut passer à la douane thaïlandaise.
Dans le hall d’attente, s’asseoir par terre n’est pas mal vu, comme en Europe.
Gare de Hua Lampong, à Bangkok. Le train en direction du Laos part tous les soirs à 20h00.
Le train arrive en gare de Nong Khai. C’est la dernière ville thaïlandaise avant la frontière. C’est le terminus.
Le tuk tuk fait demi-tour avant la frontière.
Les couchettes repliées, les passagers peuvent commander un petit-déjeuner dans le train.
Pour fêter l’arrivée, une bière et un coucher de soleil sur le Mékong effacent les fatigues de ce long voyage.
Pour monter à bord du train, il faut avoir un billet. Les places sont numérotées.
Pour rejoindre la frontière, des tuk tuk attendent les passagers sur le parking de la gare.
Wagon couchette de deuxième classe. Les couchettes les plus confortables sont celles du bas.