Dans la région, la Tunisie est devenue une référence en matière de liberté d’expression
Publié le 18 novembre 2018
Albéric de Gouville est journaliste pour la chaine de télévision France 24. C’est aussi le président de ce qu’on appelle la Maison des journalistes à Paris. Il répond aux questions des globe-reporters Eya, Aziz, Nour, Asma, Amine et Loujaina, venus du lycée Farhat Hached de Bizerte.
Assises du journalisme de Tunis
Pour trouver des réponses à des questions autour des problèmes que peuvent rencontrer les journalistes dans l’exercice de leur métier, nous prenons contact avec Albéric de Gouville qui préside une structure qui accueille à Paris des journalistes qui ont dû fuir leur pays.
Lorsque nous le croisons, il est en plein plateau puisqu’il est aux Assises Internationales du journalisme en tant qu’envoyé spécial de la chaîne de télévision France 24. Il est en pleine interview de la journaliste originaire du Burundi Yvette Murekasabe. Impossible d’interrompre le direct avec les studios à Paris.
Alberic de Gouville et ses intervieweurs
Mais une fois l’entretien terminé, c’est avec plaisir qu’il accepte de répondre aux questions.
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter ?
Que pensez-vous de la situation du journalisme en Tunisie actuellement ?
Est-ce qu’il y a de grandes différences entre le journalisme en Tunisie et le journalisme en Europe ?
La presse écrite en Tunisie décline. Pensez-vous qu’il y a encore un avenir pour la presse écrite ?
Est-ce que les journalistes tunisiens qui travaillent à l’étranger sont harcelés, victimes du racisme ?
Question bonus : Avez-vous un message pour les globe-reporters de Tunisie ?