La grande famille des associations du 19ème arrondissement de Paris a une maison

Publié le 21 décembre 2019

À Mantes-la-Jolie, les globe-reporters d’EIAPIC (Ensemble Inter Associatif Pour l’Inter Culturel), une association créée en 1987 par des enseignants, des étudiants et des acteurs associatifs de la ville, enquêtent sur le bénévolat et le rôle des associations.

Jeunesses

Pour en savoir plus, les rédacteurs en chef d’EIAPIC décident de questionner les responsables d’une Maison des associations de la ville de Paris et mandatent leur envoyé spécial, le journaliste Alain DEVALPO, pour faire une interview.

La ville de Paris a développé un réseau d’établissements dans toute la ville pour renforcer le mouvement associatif de la capitale. Vers qui se tourner ? Alain DEVALPO est aussi membre d’une association qui est domiciliée depuis plusieurs années à la MACVAC (Maison du combattant, de la vie associative et citoyenne) du 19ème arrondissement, dans le nord-est de Paris. Il connaît bien le lieu et l’équipe qui y travaille. Il prend donc contact par téléphone et demande à parler au directeur du développement de la vie associative du 19ème qui a son bureau à la MACVAC. Pas de chance, ce dernier n’est pas disponible avant début janvier 2020. Impossible d’attendre, car les rédacteurs en chef doivent travailler sur leur sujet lors des congés de fin d’année.

Notre envoyé spécial demande alors à parler à la responsable de la MACVAC et lui explique la démarche. Malgré un agenda chargé avec l’approche des vacances, Madame KALMES accepte de répondre aux questions et propose un rendez-vous de 20 minutes le vendredi 20 décembre, entre 15h00 et 16h00.

Ce jour-là, notre envoyé spécial ne peut pas être à Paris. Il doit donc trouver une solution. Alain contacte des journalistes de Globe Reporters et leur demande de réaliser l’interview. L’une est déjà en vacances, l’autre est en reportage. La 3ème, en raison des difficultés à circuler dans la capitale en raison du mouvement social qui lutte pour sauvegarder les services publics, décline la proposition. Finalement, Charles JOUSSELIN, un vidéaste proche de l’association lui répond être disponible. Alain envoie alors un message à Mme KALMES pour la prévenir que ce sera Charles qui se présentera dans son bureau, le vendredi après-midi.


La MACVAC de Paris 19 - Crédit photo Mairie de Paris

Vendredi matin, changement de programme. Un message de Charles nous apprend : « Bien désolé de ne pouvoir conduire cette interview : je dois aller chercher ma mère qui est hospitalisée et qui sort cet après-midi ! » Le travail des journalistes est avant tout de se déplacer pour faire des reportages. La visite et la rencontre apportent toujours plein d’informations utiles pour écrire ensuite son article. Aussi pour réaliser une interview, il vaut toujours mieux rencontrer les personnes. Mais dans notre, cette option n’est plus possible à quelques heures du rendez-vous fixé par Mme KALMES. Il faut chercher une autre solution. C’est très souvent le quotidien du travail des journalistes qui doivent sans cesse s’adapter aux circonstances.

Notre reporter qui connaît déjà bien le lieu et l’équipe de la MACVAC se dit qu’après tout, il reste le téléphone. Il écrit donc à Mme KALMES pour lui expliquer la situation et lui propose de l’appeler à 15h00 puis d’enregistrer la conversation. Mme KALMES lui répond : « Ok pour vous répondre par téléphone. Je préfèrerais à 15h30 si c’est possible de votre côté, sinon on reste sur 15h00. À tout à l’heure. Bien cordialement. »

À 15h30, le haut-parleur du téléphone activé et un micro prêt à enregistrer, Alain appelle Mme KALMES. À l’écoute des réponses, on comprend que la qualité sonore d’une interview réalisée dans ces conditions n’a rien à voir avec un enregistrement en direct, mais les explications sont tout de même très claires.

Une interview réalisée en décembre 2019

Sources sonores

  • Comment vous appelez-vous ? Quel est votre poste et quelles sont vos responsabilités ?

  • Pourquoi faites-vous ce métier ? Quelle est votre formation ? Votre parcours professionnel ?

  • À quoi sert une maison des associations ?

  • Quel est le développement de la maison des Associations dans laquelle vous travaillez ?

  • Combien de personnes travaillent dans cette maison des Associations ?

  • Combien d’associations sont inscrites dans cette maison des Associations ? En quoi consiste votre aide aux associations ?

  • Donnez-vous de l’argent pour aider les associations ?

  • Qui finance le budget de votre maison des Associations ?

  • Est-ce qu’il y a des associations juniors inscrites dans votre maison des associations ? Comme les aidez-vous ? Faut-il encourager les jeunes à créer des associations et sur quels thèmes ?

  • Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?

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