Renauld GBETOWENONMON est étudiant à l’École Nationale Supérieure de Porto Novo, la capitale administrative du Bénin. Il souhaite devenir professeur d’université pour sensibiliser à la culture ses futurs étudiants étudiants. C’est pour cette raison qu’il répond aux questions des globe-reporters Mariama, Sira et Goundhoba du lycée Albert Einstein de Sainte-Geneviève-des-Bois (91).
L’École Nationale Supérieure reçoit chaque année 3 000 étudiants qui deviendront les futurs professeurs du système d’éducation publique béninois. Elle est située à Porto Novo, la deuxième ville du pays et la capitale administrative. L’envoyée spéciale des globe-reporters se rend dans cette ville qui fut une colonie portugaise à la rencontre de jeunes, d’étudiants et d’universitaires avec plein de nombreuses dans ses calepins.
C’est grâce à une personne qui travaille au sein de l’Institut Français à Cotonou que nous avons rencontré un des professeurs de l’ENS. Intéressé par Globe Reporters, il a facilité la mise en relation de notre envoyée spéciale avec le directeur et auprès des élèves. Une fois sur place, un groupe d’étudiants volontaires accepte, pendant une petite matinée, de répondre aux questions des globe-reporters. La première chose à faire est de réfléchir à plusieurs aux réponses. Bref, c’est un vrai travail.
Parmi les étudiants, nous rencontrons Renauld GBETOWENONMON qui responsable de sa classe. C’est un passionné de langue française. Il est aussi poète et très critique vis-à-vis des jeunes de son âge et des plus jeunes qui négligent la culture béninoise. C’est pour cela qu’il demande à prendre la parole.
Pour Renauld GBETOWENONMON les jeunes ne respectent pas la culture endogène béninoise et s’éloignent de leur propre culture.
Pour Renauld GBETOWENONMON, la poésie est une expression qui peut aider les jeunes à se sentir fiers de leur identité et à, par exemple, ne pas se dépigmenté la peau.
L’interview avec Renauld GBETOWENONMON a lieu dans une salle de classe inoccupée. Tatiana est en compagnie d’un groupe d’étudiants de l’École Normale Supérieure, tous volontaires, pour répondre globe-reporters.
L’envoyée spéciale et les étudiants discutent et préparent les interviews avant d’allumer l’enregistreur.
Une fois les sujets des interviews et les questionnaires repartis, les enregistrements commencent. Certains répondent pendant que d’autres prennent des photos.
