Carole SOULAGNES est la directrice du Lycée français de Bucarest. Elle répond aux questions des globe-reporters Gabin, Manon, Camille et Mathilde, du lycée François Arago, à Perpignan.

Education et jeunesses

C’est Michel MONTSAURET, l’attaché de coopération éducative à l’Institut français de Roumanie, qui donne à notre envoyée spéciale le contact de Carole SOULAGNES, proviseure du Lycée français Anna de NOAILLES depuis 2015.

Ce n’est pas qu’un lycée : il y a aussi une école maternelle et primaire, ainsi qu’un collège. Au total, plus de 1 100 élèves y étudient. C’est un établissement très réputé, qui attire les Roumains qui ont les moyens de payer les frais de scolarité. Il y a plus de demandes que de places disponibles : en 2019, environ 100 élèves ne peuvent pas être accueillis.

L’interview est programmée, dans un premier temps, le vendredi 25 janvier. Mais le gouvernement roumain décrète la fermeture de tous les établissements scolaires du pays, ce jour-là, à cause d’une épidémie de grippe qui frappe le pays. Heureusement, une autre date est possible.

Après l’interview, Carole SOULAGNES fait visiter le lycée à Élodie. Comme le souhaitent les globe-reporters, l’envoyée spéciale fait aussi un petit micro-trottoir auprès d’élèves roumains, pour connaître leurs motivations à venir au Lycée français.

Enfin, notre journaliste profite de sa venue à l’École centrale de Bucarest pour poser les questions sur le lycée roumain à Raisa VLAD, responsable de la section bilingue francophone dans cet établissement, également bien réputé.

Sources photographiques

Carole SOULAGNES.

L’entrée de la partie collège-lycée. Au Lycée français, il y a aussi une école primaire. Au total, l’établissement compte environ 1 100 élèves.

Le lycée dispoe d’un terrain synthétique et d’une piste d’athlétisme.

Il y a aussi un très grand gymnase.

L’amphithéâtre.

Dans le CDI, les poufs permettent de lire à l’aise.

Il y a un self, mais aussi un petit point de vente pour grignoter.

Le foyer, avec un baby-foot, des canapés et des bancs.

Le couloir aux casiers.

Une salle de classe.

Les résultats du bac 2018, affichés dans un couloir : 98% de réussite et 80% de mentions.

Le lycée porte le nom d’Anna de Noailles, une poétesse et romancière française d’origine roumaine, née en 1876. Ici, son portrait et l’un de ses poèmes.

Craouette, le chat du lycée !

Mihai, élève en première scientifique.

Albert, élève en terminale scientifique.

Raisa VLAD, prof de français et responsable de la section bilingue francophone à l’École centrale de Bucarest.

Sources sonores

• Pouvez-vous vous présenter et présenter le Lycée français ?

• Pourquoi y a-t-il environ 45 % de Roumains au lycée Anna de Noailles ? Que recherchent-ils ?

• Y a-t-il un bon taux de réussite aux examens ?

• Est-ce que votre programme est différent de celui en France ? Et si oui, quelles sont ces différences ?

• Êtes-vous concernés par la réforme du lycée en France ? Et qu’en pensez-vous ?

• Est-ce que vous travaillez en partenariat avec les lycées roumains ?

• Question bonus : Quelles sont les principales différences et ressemblances entre un lycée français et un lycée roumain ?

• Question bonus : Combien coûte l’inscription au Lycée français ?

• Question bonus : Un dernier mot ?

• Pourquoi avez-vous choisi d’étudier au Lycée français ? (Teodora, Mihai et Albert)

• Raisa VLAD : Y a-t-il beaucoup d’élèves qui étudient le français dans votre lycée ?

• Raisa VLAD : Faites-vous partie du programme Erasmus, de l’Union européenne ?

• Raisa VLAD : Organisez-vous des voyages scolaires dans d’autres pays, plus particulièrement en France ?

• Raisa VLAD : Comment s’organisent vos emplois du temps ?