Jérôme BOUVIER, président de Journalisme et Citoyenneté, et fondateur des Assises Internationales du journalisme, répond aux globe-reporters Loujayma, Naynouz et Sahar.
Quand nous arrivons aux 1ères Assises Internationales du Journalisme de Tunisie, le 15 novembre 2018, voilà déjà des semaines que Jérôme BOUVIER et son équipe préparent l’événement. Et comme pour tout événement de ce genre, plus la cérémonie d’ouverture approche et plus il faut courir dans toutes les directions pour résoudre les problèmes de dernière minute, comme par exemple, l’absence de WIFI à la Cité de la Culture la veille de l’ouverture.
Nous tentons de coincer Jérôme Bouvier ce 15 novembre, mais tel un papillon, il virevolte dans toutes les directions, sollicité par des gens venus de 30 pays.
C’est le lendemain, un peu par chance, que l’occasion de poser nos questions se présente. Il est 15h00 et Jérôme BOUVIER fait une pause dans l’hôtel où il loge, histoire de grignoter un morceau. Détendu, avec aucune personne pour le déranger, c’est le moment idéal pour lui tendre notre micro. Et même si la voix est fatiguée, le propos de ce professionnel de l’information au curriculum aussi long que le cou d’une girafe reste vif et précis.
Prise de contact avec Jérôme BOUVIER à l’entrée de la Cité de la Culture © Aziz ANDOLSI
Malgré les mille et une choses à faire, Jérôme BOUVIER prend le temps d’écouter les globe-reporters venus de Bizerte qui expliquent les raisons de leur présence à Tunis ce jour-là © Aziz ANDOLSI
Malheureusement, l’endroit qui est très bruyant ne se prête pas à une interview dans de bonnes conditions et le technicien est déjà occupé © Aziz ANDOLSI
Créer une ambiance de sympathie et gagner la confiance de la personne à interviewer ; le premier objectif des journalistes © Aziz ANDOLSI
Une bonne interview est une interview bien préparée. Les globe-reporters ne sont pas venus les mains dans les poches aux Assises, mais avec des carnets remplis de questions © Aziz ANDOLSI
Même si les conditions ne sont pas idéales, on tente de garder une mémoire de la discussion. Des documents pas forcément exploitables par la suite © Aziz ANDOLSI
Une rencontre des globe-reporters avec Jérôme BOUVIER qui suscite l’intérêt d’autres journalistes qui couvrent les Assises de Tunis © Aziz ANDOLSI
Globe Reporters, un projet d’éducation à l’information qui se réalise en partenariat avec les enseignants, comme Basma AUGUSTE AMY du lycée Farhat Hached de Bizerte © Aziz ANDOLSI
Plus tard, en classe, l’enseignante donnera sa dimension pédagogique à cette aventure journalistique © Aziz ANDOLSI