"Le métier de pompier est physique, mais les femmes y ont leur place", Manon RIBET
Publié le 23 avril 2019
Manon RIBET est pompière professionnelle à la caserne de Bruay-Houdain (62). Est-il difficile d’être une femme lorsque l’on est pompier ? Elle répond aux questions des globe-reporters de l’école Roger SALENGRO à Courcelles-lès-Lens.
Culture et éducation
Les globe-reporters de Courcelles-lès-Lens mènent l’enquête sur les stéréotypes filles-garçons dans le domaine des métiers. Pour cela, ils souhaitent interroger des femmes et des hommes qui évoluent dans des domaines traditionnellement masculins ou féminins.
Pour interroger Manon RIBET, leur envoyée spéciale, la journaliste Sidonie HADOUX fait appel à son carnet d’adresse personnel. Un de ses amis est sapeur-pompier professionnel. Elle lui téléphone pour lui demander d’être mis en relation avec une de ses collègues. Manon RIBET accepte avec plaisir de répondre aux questions des jeunes courcellois. Sidonie lance l’enregistrement.
Une interview réalisée en avril 2019
Sources photographiques
Manon a commencé pompier volontaire à la caserne de Marquise (62) avant de passer le concours de sapeur-pompier professionnel.
La caserne des sapeurs-pompiers de Marquise où Manon a débuté.
Manon en tenue de feu lors d’une séance photo organisée pour les calendriers des sapeurs-pompiers de Marquise.
La caserne de Bruay-Houdain où elle est actuellement professionnelle.
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter ?
Comment passe-t-on de pompier volontaire à sapeur-pompier professionnel ?
Pourquoi avez-vous choisi ce métier ?
Selon vous, pourquoi y a-t-il plus d’hommes que de femmes dans ce métier ?
Est-ce que les femmes gagnent autant que les hommes ?
Est-ce que vos collègues se moquent de vous ?
Est-ce que ce métier est plus difficile pour les femmes que pour les hommes ?
Y a-t-il des interventions uniquement réservées aux hommes ?
Avez-vous eu du mal à intégrer votre caserne actuelle ?
Comment ça se passe dans ce métier pour les femmes enceintes ?