Nouveau souffle pour la filière verre avec l’entreprise Cedar Environmental
Publié le 20 janvier 2021
Les globe-reporters du lycée Paul Emile VICTOR à Avrillé ont préparé une interview pour Ziad ABICHAKER, ingénieur et directeur de l’entreprise Cedar Environmental. Sidonie le rencontre dans son bureau à Beyrouth. Elle en profite pour lui poser les questions des élèves de l’école des quatre saisons à Mont-Saint-Jean, sur la gestion des déchets de manière générale au Liban.
Environnement et transition énergétique
Sidonie HADOUX, notre journaliste envoyée spéciale au Liban, écrit à Ziad ABICHAKER dès son arrivée à Beyrouth. Elle le contacte sur Facebook, et Ziad lui répond quelques jours plus tard.
« Hello Sidonie, oui, ce sera un plaisir de répondre à vos questions. Envoyez-moi un email avec les détails et vos disponibilités à l’adresse suivante … ».
Une fois les formalités échangées, les détails envoyés, la journaliste et l’ingénieur conviennent d’une date pour le rendez-vous. Le bureau de Cedar Environmental est situé à quelques pas de là où vit Sidonie durant son séjour à Beyrouth, pratique !
Cette même matinée, Sidonie est en déplacement dans la Bekaa, où elle visite la ferme de l’association BUZURUNA JUZURUNA pour un autre reportage. Il y a une bonne heure de route qui la sépare de Beyrouth. L’équipe de l’association l’invite à rester déjeuner, et Sidonie ne peut pas résister à l’idée de goûter aux légumes frais du jardin. Elle sait que la route du retour peut-être embouteillée. Alors, elle prévient Ziad ABOUCHAKER qu’elle aura un retard de trente minutes. Cela ne lui pose pas de problème : « No worries », écrit-il (Pas d’inquiétudes) ! Parfait ! Il ne faudra néanmoins pas traîner, car il y a un couvre-feu à 18h00.
La circulation est fluide sur la route, mais le chauffeur du van s’arrête régulièrement pour prendre des passagers sur le bord de la route. Il s’arrête également pour mettre de l’essence, et pour s’acheter un café. Finalement, en arrivant à Beyrouth, la circulation se densifie et nous voilà pris dans les embouteillages. Sidonie donne 10 000 livres libanaises (moins d’un euros actuellement) au chauffeur, descend du van, et saute dans un taxi.
En 5 minutes à peine, les voilà arrivés. Il est 16h35 : presque à l’heure ! Sidonie monte au troisième étage du bâtiment. Une porte en bois gravé de « Cedar Environmental », le nom de l’entreprise. Sidonie tape à la porte et Ziad l’accueille dans son bureau.
Avant de commencer l’interview, il lui propose un café et offre deux petites pâtisseries aux abricots de la Bekaa. L’interview peut commencer.