Léa BOUISSOU est étudiante en 2ème année de journalisme à l’école française de journalisme à Paris (EFJ). Elle rêve de devenir photojournaliste. Les globe reporters Omar, Anis, Malik et Sourour l’interrogent.
Le métier de journaliste
Aux Assises Internationales du journalisme de Tunis, les groupes de globe-reporters et globe-reportrices sont accompagnés par des journalistes professionnels qui gèrent la partie technique des interviews (trouver un bon interlocuteur, faire en sorte de l’interview se déroule dans de bonnes conditions, que le son soit de qualité, etc.).
Très vite, certains globe-reporters prennent confiance et vont d’eux-mêmes solliciter des personnes présentes aux Assises. C’est le cas de Léa BOUISSOU. La jeune femme édite des images sur le stand installé par son école au sein de la cité de la Culture de Tunis qui accueille les assises du journalisme, quand les globe-reporters lui proposent une interview.
L’étudiante demande alors un délai de 5 minutes, le temps de terminer son travail, puis elle rejoint nos globe-reporters et globe-reportrices qui ont préparé des questions sur le photojournalisme.
Si Léa BOUISSOU apprend à maîtriser toutes les techniques journalistiques au sein de l’école française de journalisme de Paris, son souhait est de devenir photojournaliste et de couvrir des zones sensibles.
Un entretien réalisé en novembre 2018 à Tunis et actualisé en septembre 2021
Sources sonores
Pourquoi avez-vous choisi de vous spécialiser en photographie ?
Quel matériel utilisez-vous pour prendre des photos ?
À quel point l’image peut-elle avoir un impact sur le public ?
Quel type de photographies faites-vous ?
Que ressentez-vous lorsque vous prenez des images douloureuses, de guerre ou de mort par exemple ?
Est-ce que les photographies de presse peuvent être retouchées ?
Quelles techniques suivent les photojournalistes sur un terrain de conflit ?
Avez-vous déjà regretté d’avoir choisi ce métier ?
Quel est le photographe qui vous a le plus inspirée ?